Encyclopédie du trans/posthumanisme. L'humain et ses préfixes
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- Nombre de pages511
- PrésentationBroché
- Poids0.653 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 3,2 cm
- ISBN978-2-7116-2536-9
- EAN9782711625369
- Date de parution20/01/2015
- CollectionPour demain
- ÉditeurVrin
Résumé
Les préfixes de l'humain sont nombreux (ab- in-, para-, pré-, post-, proto-, sub-, sur-, trans-humain...). Ils invitent à réfléchir à la nature, aux limites et aux transformations de l'être humain ainsi qu'aux réactions intellectuelles et émotionnelles suscitées. Le trans/posthumanisme concerne toutes les techniques matérielles d'augmentation ou d'amélioration (physique, cognitive, émotionnelle) de l'homme, une perspective volontiers située dans le prolongement de l'humanisme progressiste des Lumières.
Mais l'homme " amélioré ou augmenté " - " transformé " - pourrait s'éloigner toujours davantage des conditions de l'homme naturel " cultivé " ordinaire. Le transhumanisme risque de verser, brutalement ou imperceptiblement, dans le posthumanisme, référant à des entités qui, bien que " descendant " de l'homme, seraient aussi étrangères à celui-ci que l'espèce humaine est éloignée des formes de vie paléontologiques.
Le posthumanisme flirte avec le nihilisme et l'imagination apocalyptique. Aux franges les plus audacieuses de la bioéthique, l'Encyclopédie n'écarte pas plus qu'elle ne focalise les questions éthiques. Elle englobe, sans les confondre, l'analyse conceptuelle, l'extrapolation technoscientifique et l'imagination spéculative. La première partie " Philosophie et éthique " est consacrée au débat philosophique relatif au trans/posthumanisme.
Les entrées reflètent le vocabulaire conceptuel propre aux principaux auteurs trans/posthumanistes et à leurs critiques directs. La deuxième partie " Technoscience et médecine d'amélioration " parcourt les références actuelles aux sciences et aux techniques biomédicales inhérentes à la problématique transhumaniste. Elle distingue entre ce qui se fait, pourra probablement se faire ou relève du domaine de la projection spéculative et imaginaire.
La troisième partie " Techniques, arts et science-fiction " est centrée autour des échanges entre technosciences et créations artistiques, spécialement l'imaginaire de la science-fiction où les thèmes post/transhumanistes sont fortement représentés.
Mais l'homme " amélioré ou augmenté " - " transformé " - pourrait s'éloigner toujours davantage des conditions de l'homme naturel " cultivé " ordinaire. Le transhumanisme risque de verser, brutalement ou imperceptiblement, dans le posthumanisme, référant à des entités qui, bien que " descendant " de l'homme, seraient aussi étrangères à celui-ci que l'espèce humaine est éloignée des formes de vie paléontologiques.
Le posthumanisme flirte avec le nihilisme et l'imagination apocalyptique. Aux franges les plus audacieuses de la bioéthique, l'Encyclopédie n'écarte pas plus qu'elle ne focalise les questions éthiques. Elle englobe, sans les confondre, l'analyse conceptuelle, l'extrapolation technoscientifique et l'imagination spéculative. La première partie " Philosophie et éthique " est consacrée au débat philosophique relatif au trans/posthumanisme.
Les entrées reflètent le vocabulaire conceptuel propre aux principaux auteurs trans/posthumanistes et à leurs critiques directs. La deuxième partie " Technoscience et médecine d'amélioration " parcourt les références actuelles aux sciences et aux techniques biomédicales inhérentes à la problématique transhumaniste. Elle distingue entre ce qui se fait, pourra probablement se faire ou relève du domaine de la projection spéculative et imaginaire.
La troisième partie " Techniques, arts et science-fiction " est centrée autour des échanges entre technosciences et créations artistiques, spécialement l'imaginaire de la science-fiction où les thèmes post/transhumanistes sont fortement représentés.
Les préfixes de l'humain sont nombreux (ab- in-, para-, pré-, post-, proto-, sub-, sur-, trans-humain...). Ils invitent à réfléchir à la nature, aux limites et aux transformations de l'être humain ainsi qu'aux réactions intellectuelles et émotionnelles suscitées. Le trans/posthumanisme concerne toutes les techniques matérielles d'augmentation ou d'amélioration (physique, cognitive, émotionnelle) de l'homme, une perspective volontiers située dans le prolongement de l'humanisme progressiste des Lumières.
Mais l'homme " amélioré ou augmenté " - " transformé " - pourrait s'éloigner toujours davantage des conditions de l'homme naturel " cultivé " ordinaire. Le transhumanisme risque de verser, brutalement ou imperceptiblement, dans le posthumanisme, référant à des entités qui, bien que " descendant " de l'homme, seraient aussi étrangères à celui-ci que l'espèce humaine est éloignée des formes de vie paléontologiques.
Le posthumanisme flirte avec le nihilisme et l'imagination apocalyptique. Aux franges les plus audacieuses de la bioéthique, l'Encyclopédie n'écarte pas plus qu'elle ne focalise les questions éthiques. Elle englobe, sans les confondre, l'analyse conceptuelle, l'extrapolation technoscientifique et l'imagination spéculative. La première partie " Philosophie et éthique " est consacrée au débat philosophique relatif au trans/posthumanisme.
Les entrées reflètent le vocabulaire conceptuel propre aux principaux auteurs trans/posthumanistes et à leurs critiques directs. La deuxième partie " Technoscience et médecine d'amélioration " parcourt les références actuelles aux sciences et aux techniques biomédicales inhérentes à la problématique transhumaniste. Elle distingue entre ce qui se fait, pourra probablement se faire ou relève du domaine de la projection spéculative et imaginaire.
La troisième partie " Techniques, arts et science-fiction " est centrée autour des échanges entre technosciences et créations artistiques, spécialement l'imaginaire de la science-fiction où les thèmes post/transhumanistes sont fortement représentés.
Mais l'homme " amélioré ou augmenté " - " transformé " - pourrait s'éloigner toujours davantage des conditions de l'homme naturel " cultivé " ordinaire. Le transhumanisme risque de verser, brutalement ou imperceptiblement, dans le posthumanisme, référant à des entités qui, bien que " descendant " de l'homme, seraient aussi étrangères à celui-ci que l'espèce humaine est éloignée des formes de vie paléontologiques.
Le posthumanisme flirte avec le nihilisme et l'imagination apocalyptique. Aux franges les plus audacieuses de la bioéthique, l'Encyclopédie n'écarte pas plus qu'elle ne focalise les questions éthiques. Elle englobe, sans les confondre, l'analyse conceptuelle, l'extrapolation technoscientifique et l'imagination spéculative. La première partie " Philosophie et éthique " est consacrée au débat philosophique relatif au trans/posthumanisme.
Les entrées reflètent le vocabulaire conceptuel propre aux principaux auteurs trans/posthumanistes et à leurs critiques directs. La deuxième partie " Technoscience et médecine d'amélioration " parcourt les références actuelles aux sciences et aux techniques biomédicales inhérentes à la problématique transhumaniste. Elle distingue entre ce qui se fait, pourra probablement se faire ou relève du domaine de la projection spéculative et imaginaire.
La troisième partie " Techniques, arts et science-fiction " est centrée autour des échanges entre technosciences et créations artistiques, spécialement l'imaginaire de la science-fiction où les thèmes post/transhumanistes sont fortement représentés.