Des Termes Extremes Des Biens Et Des Mots Tome 1 : Livre I-Ii

Par : Cicéron
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  • Nombre de pages276
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.31 kg
  • Dimensions12,5 cm × 19,2 cm × 1,7 cm
  • ISBN2-251-01049-1
  • EAN9782251010496
  • Date de parution01/01/1999
  • ÉditeurBelles Lettres

Résumé

Extrait de l'introduction : "C'est le problème moral qui fait l'objet du De finibus, tel qu'il se trouve posé après Aristote, c'est-à-dire ramené à la question du souverain bien. Il s'agit de savoir où se porte la nature humaine livrée à elle-même, à quoi elle tend, ce pourquoi elle agit, et de déterminer, d'après cette observation, le bien capable d'assurer à l'homme la plénitude d'une vie heureuse.
C'est à quoi toutes les écoles philosophiques de la Grèce se sont évertuées. Toutes ont prétendu découvrir un bien qui pût être, à lui-seul, la condition du bonheur, un bien désirable pour lui-même, ayant une valeur absolue, dernier terme où vînt la série de tous les autres biens, tel que celui qui le posséderait n'aurait rien à désirer au-delà, bref un bien qui fût une fin en soi, la fin ultime, tout se rapportant à lui et lui ne se rapportant à rien.
(...)" J. M.
Extrait de l'introduction : "C'est le problème moral qui fait l'objet du De finibus, tel qu'il se trouve posé après Aristote, c'est-à-dire ramené à la question du souverain bien. Il s'agit de savoir où se porte la nature humaine livrée à elle-même, à quoi elle tend, ce pourquoi elle agit, et de déterminer, d'après cette observation, le bien capable d'assurer à l'homme la plénitude d'une vie heureuse.
C'est à quoi toutes les écoles philosophiques de la Grèce se sont évertuées. Toutes ont prétendu découvrir un bien qui pût être, à lui-seul, la condition du bonheur, un bien désirable pour lui-même, ayant une valeur absolue, dernier terme où vînt la série de tous les autres biens, tel que celui qui le posséderait n'aurait rien à désirer au-delà, bref un bien qui fût une fin en soi, la fin ultime, tout se rapportant à lui et lui ne se rapportant à rien.
(...)" J. M.
Cicéron (106-43 av. J.-C.) a composé ce traité, que l'on peut considérer comme son testament philosophique, au moment où il entreprenait son dernier combat pour la République romaine contre les ambitions tyranniques de Marc Antoine, qui recueillait alors l'héritage de César, assassiné quelques mois plus tôt. Le traité Des devoirs est ainsi la dernière oeuvre philosophique de Cicéron, et son ultime publication en dehors des discours Philippiques dirigés contre l'ancien lieutenant de César. Très rapidement, le traité Des devoirs s'est imposé comme un classique pour les païens (Pline l'Ancien) comme pour les chrétiens (Ambroise de Milan) ; son succès s'est poursuivi durant le Moyen-Âge (Moralium dogma philosophorum), à la Renaissance (Erasme) et jusqu'à l'époque moderne, quand Montesquieu, au XVIIIe siècle, abandonnait l'idée de composer à son tour un traité capable de rivaliser avec celui de Cicéron, et que le roi de Prusse, Frédéric II, l'ami des philosophes, ne croyait pas non plus qu'on pût jamais rien composer de meilleur en morale.
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