Ludmila Oulitskaïa est née en 1943, dans l'Oural. Elle a grandi à Moscou et fait des études de biologie à l'université. Auteur de nombreuses pièces de théâtre et scénarios de films, depuis le début des années 1980, elle se consacre exclusivement à la littérature. Ses premiers récits ont paru à Moscou, dans des revues. Ses livres ont été traduits, en français, aux éditions Gallimard. Son roman "Sonietchka" a reçu le prix Médicis Etranger, en 1996. Elle a deux fils et vit actuellement à Moscou, avec son mari, le sculpteur Andreï Krassouline.
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- Nombre de pages220
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.14 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,5 cm
- ISBN2-07-041717-4
- EAN9782070417179
- Date de parution20/03/2001
- CollectionFolio
- ÉditeurGallimard
Résumé
C'est dans son loft d'artiste à Manhattan, dans une ville écrasée de chaleur, qu'Alik, peintre juif russe émigré, va mourir. Il n'est pas de mort annoncée qui ne soit aussi drôle et, paradoxalement, un tel hymne à la vie que celle d'Alik. Entouré de sa femme Nina et de ses anciennes maîtresses, l'agonisant souhaite que la fête continue, alors que Nina ne pense qu'à sauver son âme. Un prêtre orthodoxe et un rabbin vont se succéder au chevet du mourant et leur rencontre est le point d'orgue, d'une drôlerie irrésistible, de ces funérailles pas tout à fait ordinaires. Dans ce quatrième livre, l'auteur des nouvelles Les pauvres parents et du roman Sonietchka démontre que les interrogations métaphysiques sur la mort et la religion ne sont pas, en littérature, incompatibles avec l'humour...
C'est dans son loft d'artiste à Manhattan, dans une ville écrasée de chaleur, qu'Alik, peintre juif russe émigré, va mourir. Il n'est pas de mort annoncée qui ne soit aussi drôle et, paradoxalement, un tel hymne à la vie que celle d'Alik. Entouré de sa femme Nina et de ses anciennes maîtresses, l'agonisant souhaite que la fête continue, alors que Nina ne pense qu'à sauver son âme. Un prêtre orthodoxe et un rabbin vont se succéder au chevet du mourant et leur rencontre est le point d'orgue, d'une drôlerie irrésistible, de ces funérailles pas tout à fait ordinaires. Dans ce quatrième livre, l'auteur des nouvelles Les pauvres parents et du roman Sonietchka démontre que les interrogations métaphysiques sur la mort et la religion ne sont pas, en littérature, incompatibles avec l'humour...
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