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Boire le vin et le champagne à la table des élites martiniquaises (1914 - 1945)

Par : Abel Alexis Louis
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  • Nombre de pages136
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.165 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-336-57401-1
  • EAN9782336574011
  • Date de parution13/11/2025
  • CollectionQuestions alimentaires et gast
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Malgré la période mouvementée 1914-1945, les élites, du fait de leur richesse, leur statut social et leurs origines géographiques et culturelles, consommaient du vin (ordinaire, fin, grand vin de Bordeaux, de Bourgogne et d'ailleurs...) et du champagne, qui s'étaient imposés dans quasiment toutes les demeures élitaires depuis la monarchie de Juillet. Ils les partageaient avec ceux qui leur ressemblaient en de multiples occasions (déjeuner, dîner, réception, bal, baptême, communion ou mariage), appréciant ces breuvages mais surtout en quête de distinction et de distanciation vis-à-vis des autres composantes de la société coloniale, en montrant à leurs invités leur savoir-être, leur savoir-vivre et leur savoir-faire.
Boire ces breuvages était aussi une manière de cultiver l'entre-soi (même statut social, même couleur de peau). Certains lieux de consommation avaient un rôle de lien social, réunissant ceux qui les dégustaient (demeure bourgeoise, villa, maison de campagne, café, restaurant, cercle, station balnéaire, club nautique). Ce livre raconte l'histoire de ces interactions...
Malgré la période mouvementée 1914-1945, les élites, du fait de leur richesse, leur statut social et leurs origines géographiques et culturelles, consommaient du vin (ordinaire, fin, grand vin de Bordeaux, de Bourgogne et d'ailleurs...) et du champagne, qui s'étaient imposés dans quasiment toutes les demeures élitaires depuis la monarchie de Juillet. Ils les partageaient avec ceux qui leur ressemblaient en de multiples occasions (déjeuner, dîner, réception, bal, baptême, communion ou mariage), appréciant ces breuvages mais surtout en quête de distinction et de distanciation vis-à-vis des autres composantes de la société coloniale, en montrant à leurs invités leur savoir-être, leur savoir-vivre et leur savoir-faire.
Boire ces breuvages était aussi une manière de cultiver l'entre-soi (même statut social, même couleur de peau). Certains lieux de consommation avaient un rôle de lien social, réunissant ceux qui les dégustaient (demeure bourgeoise, villa, maison de campagne, café, restaurant, cercle, station balnéaire, club nautique). Ce livre raconte l'histoire de ces interactions...