Les bourgeoisies en Martinique (1802-1852). Une approche comparative
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- Nombre de pages230
- PrésentationBroché
- Poids0.39 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-343-11138-4
- EAN9782343111384
- Date de parution01/02/2017
- CollectionChemins de la mémoire
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Peut-on parler de bourgeoisie en Martinique entre 1802 et 1852 ? Quelles sont les différentes caractéristiques de cette catégorie sociale en Martinique qui s'impose dans le jeu politique et économique de la colonie depuis le XVIIIe siècle ? Ainsi que l'a signalé l'un des travaux de nos prédécesseurs, "la bourgeoisie constitue les fondements de la société du XIXe siècle et affirme le triomphe des valeurs qui perdurent encore aujourd'hui".
L'ouvrage tente de dresser un tableau représentatif de cette population aux multiples facettes et en constante évolution au XIXe siècle. Grâce à l'abord du grand propriétaire d'habitation sucrerie, du négociant, du marchand, de l'artisan tenant boutique, du propriétaire de maisons et d'esclaves, du rentier, du "sans profession" et de ceux et celles qui n'avaient pas de profession dans les minutes, fut défini la notion de bourgeoisie qui se veut urbaine et rurale.
Cette "classe moyenne" existe en dépit des formes plurielles qu'elle peut prendre. Instruction, éducation, formes de sociabilité, représentations, valeurs, mode et cadre de vie, mis en lumière, ont permis de brosser l'ébauche du portrait des bourgeois en Martinique dans la première moitié du XIXe siècle et de mieux appréhender la société coloniale.
L'ouvrage tente de dresser un tableau représentatif de cette population aux multiples facettes et en constante évolution au XIXe siècle. Grâce à l'abord du grand propriétaire d'habitation sucrerie, du négociant, du marchand, de l'artisan tenant boutique, du propriétaire de maisons et d'esclaves, du rentier, du "sans profession" et de ceux et celles qui n'avaient pas de profession dans les minutes, fut défini la notion de bourgeoisie qui se veut urbaine et rurale.
Cette "classe moyenne" existe en dépit des formes plurielles qu'elle peut prendre. Instruction, éducation, formes de sociabilité, représentations, valeurs, mode et cadre de vie, mis en lumière, ont permis de brosser l'ébauche du portrait des bourgeois en Martinique dans la première moitié du XIXe siècle et de mieux appréhender la société coloniale.
Peut-on parler de bourgeoisie en Martinique entre 1802 et 1852 ? Quelles sont les différentes caractéristiques de cette catégorie sociale en Martinique qui s'impose dans le jeu politique et économique de la colonie depuis le XVIIIe siècle ? Ainsi que l'a signalé l'un des travaux de nos prédécesseurs, "la bourgeoisie constitue les fondements de la société du XIXe siècle et affirme le triomphe des valeurs qui perdurent encore aujourd'hui".
L'ouvrage tente de dresser un tableau représentatif de cette population aux multiples facettes et en constante évolution au XIXe siècle. Grâce à l'abord du grand propriétaire d'habitation sucrerie, du négociant, du marchand, de l'artisan tenant boutique, du propriétaire de maisons et d'esclaves, du rentier, du "sans profession" et de ceux et celles qui n'avaient pas de profession dans les minutes, fut défini la notion de bourgeoisie qui se veut urbaine et rurale.
Cette "classe moyenne" existe en dépit des formes plurielles qu'elle peut prendre. Instruction, éducation, formes de sociabilité, représentations, valeurs, mode et cadre de vie, mis en lumière, ont permis de brosser l'ébauche du portrait des bourgeois en Martinique dans la première moitié du XIXe siècle et de mieux appréhender la société coloniale.
L'ouvrage tente de dresser un tableau représentatif de cette population aux multiples facettes et en constante évolution au XIXe siècle. Grâce à l'abord du grand propriétaire d'habitation sucrerie, du négociant, du marchand, de l'artisan tenant boutique, du propriétaire de maisons et d'esclaves, du rentier, du "sans profession" et de ceux et celles qui n'avaient pas de profession dans les minutes, fut défini la notion de bourgeoisie qui se veut urbaine et rurale.
Cette "classe moyenne" existe en dépit des formes plurielles qu'elle peut prendre. Instruction, éducation, formes de sociabilité, représentations, valeurs, mode et cadre de vie, mis en lumière, ont permis de brosser l'ébauche du portrait des bourgeois en Martinique dans la première moitié du XIXe siècle et de mieux appréhender la société coloniale.