Lire Jacques Derrida et Hélène Cixous. Volume 1, Battements du secret littéraire
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- Nombre de pages346
- FormatPDF
- ISBN978-2-7056-7640-7
- EAN9782705676407
- Date de parution03/03/2010
- Protection num.Adobe DRM
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
Résumé
Depuis la parution de Voiles en 1998, qui a réuni dans un même ouvrage « Savoir » d'Hélène Cixous et « Un ver à soie » de Jacques Derrida, donnant ainsi lieu à une première contresignature explicite entre l'écrivain et le philosophe, de multiples entrecroisements se sont produits entre leurs ouvres. Au-delà d'un simple repérage thématique et formel, cet essai interroge ce qui fait événement d'écriture et de pensée entre ces deux ouvres appelées par la « Toute-puissance-autre » de la littérature.
À partir des textes qui témoignent des nombreux échanges entre Derrida et Cixous, deux lecteurs se lisant l'un l'autre, on suit ici à la trace quelques-uns des traits les plus caractéristiques et singuliers de chaque lecteur/lectrice, de Fourmis à Genèses, généalogies, genres et le génie, en passant par H. C. pour la vie, c'est à dire..., du côté de Derrida, et par le Portrait de Jacques Derrida en Jeune Saint Juif ; Insister.
À Jacques Derrida et Hyperrêve, du côté de Cixous. Dans toutes ces scènes, il s'agit peut-être d'une seule chose : faire droit au même rêve de littérature et apprendre à lire : « il me faut vous apprendre à m'apprendre à me lire », comme le prédisait Jacques Derrida dans « Circonfession », lire, donc, ce qui s'appelle lire, à la hauteur de leurs inventifs et bien-nommés apprentissages.
À partir des textes qui témoignent des nombreux échanges entre Derrida et Cixous, deux lecteurs se lisant l'un l'autre, on suit ici à la trace quelques-uns des traits les plus caractéristiques et singuliers de chaque lecteur/lectrice, de Fourmis à Genèses, généalogies, genres et le génie, en passant par H. C. pour la vie, c'est à dire..., du côté de Derrida, et par le Portrait de Jacques Derrida en Jeune Saint Juif ; Insister.
À Jacques Derrida et Hyperrêve, du côté de Cixous. Dans toutes ces scènes, il s'agit peut-être d'une seule chose : faire droit au même rêve de littérature et apprendre à lire : « il me faut vous apprendre à m'apprendre à me lire », comme le prédisait Jacques Derrida dans « Circonfession », lire, donc, ce qui s'appelle lire, à la hauteur de leurs inventifs et bien-nommés apprentissages.
Depuis la parution de Voiles en 1998, qui a réuni dans un même ouvrage « Savoir » d'Hélène Cixous et « Un ver à soie » de Jacques Derrida, donnant ainsi lieu à une première contresignature explicite entre l'écrivain et le philosophe, de multiples entrecroisements se sont produits entre leurs ouvres. Au-delà d'un simple repérage thématique et formel, cet essai interroge ce qui fait événement d'écriture et de pensée entre ces deux ouvres appelées par la « Toute-puissance-autre » de la littérature.
À partir des textes qui témoignent des nombreux échanges entre Derrida et Cixous, deux lecteurs se lisant l'un l'autre, on suit ici à la trace quelques-uns des traits les plus caractéristiques et singuliers de chaque lecteur/lectrice, de Fourmis à Genèses, généalogies, genres et le génie, en passant par H. C. pour la vie, c'est à dire..., du côté de Derrida, et par le Portrait de Jacques Derrida en Jeune Saint Juif ; Insister.
À Jacques Derrida et Hyperrêve, du côté de Cixous. Dans toutes ces scènes, il s'agit peut-être d'une seule chose : faire droit au même rêve de littérature et apprendre à lire : « il me faut vous apprendre à m'apprendre à me lire », comme le prédisait Jacques Derrida dans « Circonfession », lire, donc, ce qui s'appelle lire, à la hauteur de leurs inventifs et bien-nommés apprentissages.
À partir des textes qui témoignent des nombreux échanges entre Derrida et Cixous, deux lecteurs se lisant l'un l'autre, on suit ici à la trace quelques-uns des traits les plus caractéristiques et singuliers de chaque lecteur/lectrice, de Fourmis à Genèses, généalogies, genres et le génie, en passant par H. C. pour la vie, c'est à dire..., du côté de Derrida, et par le Portrait de Jacques Derrida en Jeune Saint Juif ; Insister.
À Jacques Derrida et Hyperrêve, du côté de Cixous. Dans toutes ces scènes, il s'agit peut-être d'une seule chose : faire droit au même rêve de littérature et apprendre à lire : « il me faut vous apprendre à m'apprendre à me lire », comme le prédisait Jacques Derrida dans « Circonfession », lire, donc, ce qui s'appelle lire, à la hauteur de leurs inventifs et bien-nommés apprentissages.