La conférence inachevée. Le pas de Gamelin et autres récits
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- Nombre de pages304
- FormatePub
- ISBN978-2-89406-453-5
- EAN9782894064535
- Date de parution26/10/2020
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurBibliothèque québécoise BQ
- PréfacierPierre Vadeboncoeur
- PostfacierGinette Michaud
Résumé
La folie occupe une place privilégiée dans l'univers de Jacques Ferron. C'est que le docteur avait travaillé seize mois (1970-1971) comme omnipraticien au sein de l'hôpital psychiatrique Saint-Jean-de-Dieu de Montréal. Volontairement affecté à la salle Sainte-Rita, section réservée aux « femmes folles » où il avait, dit-il, son « ciel » et ses « quartiers », il a côtoyé des êtres dysfonctionnels et fantastiques qui se trouvaient à la limite des personnages de fiction.
L'immense conteur en lui a trouvé là une nourriture considérable qu'il transportera, avec une affection bienveillante, à travers toute son ouvre. Ce recueil de quinze textes - récits, souvenirs, chroniques, choses vues et entendues - montre encore une fois comment la plume de l'intelligent docteur sert ici à saisir à bras le corps la misère et le malheur de vivre ainsi à l'écart du monde. La fêlure des femmes qu'il soigne pouvait-elle rejoindre la sienne propre ? Personne n'a oublié que Nelligan, à qui, plus jeune, Jacques Ferron a déjà rendu visite, y a passé des années sombres entre folie et oubli.
« Le pas de Gamelin », le texte inaugural, très largement autobiographique, est pour plusieurs l'un des moments forts de toute son entreprise littéraire.
L'immense conteur en lui a trouvé là une nourriture considérable qu'il transportera, avec une affection bienveillante, à travers toute son ouvre. Ce recueil de quinze textes - récits, souvenirs, chroniques, choses vues et entendues - montre encore une fois comment la plume de l'intelligent docteur sert ici à saisir à bras le corps la misère et le malheur de vivre ainsi à l'écart du monde. La fêlure des femmes qu'il soigne pouvait-elle rejoindre la sienne propre ? Personne n'a oublié que Nelligan, à qui, plus jeune, Jacques Ferron a déjà rendu visite, y a passé des années sombres entre folie et oubli.
« Le pas de Gamelin », le texte inaugural, très largement autobiographique, est pour plusieurs l'un des moments forts de toute son entreprise littéraire.
La folie occupe une place privilégiée dans l'univers de Jacques Ferron. C'est que le docteur avait travaillé seize mois (1970-1971) comme omnipraticien au sein de l'hôpital psychiatrique Saint-Jean-de-Dieu de Montréal. Volontairement affecté à la salle Sainte-Rita, section réservée aux « femmes folles » où il avait, dit-il, son « ciel » et ses « quartiers », il a côtoyé des êtres dysfonctionnels et fantastiques qui se trouvaient à la limite des personnages de fiction.
L'immense conteur en lui a trouvé là une nourriture considérable qu'il transportera, avec une affection bienveillante, à travers toute son ouvre. Ce recueil de quinze textes - récits, souvenirs, chroniques, choses vues et entendues - montre encore une fois comment la plume de l'intelligent docteur sert ici à saisir à bras le corps la misère et le malheur de vivre ainsi à l'écart du monde. La fêlure des femmes qu'il soigne pouvait-elle rejoindre la sienne propre ? Personne n'a oublié que Nelligan, à qui, plus jeune, Jacques Ferron a déjà rendu visite, y a passé des années sombres entre folie et oubli.
« Le pas de Gamelin », le texte inaugural, très largement autobiographique, est pour plusieurs l'un des moments forts de toute son entreprise littéraire.
L'immense conteur en lui a trouvé là une nourriture considérable qu'il transportera, avec une affection bienveillante, à travers toute son ouvre. Ce recueil de quinze textes - récits, souvenirs, chroniques, choses vues et entendues - montre encore une fois comment la plume de l'intelligent docteur sert ici à saisir à bras le corps la misère et le malheur de vivre ainsi à l'écart du monde. La fêlure des femmes qu'il soigne pouvait-elle rejoindre la sienne propre ? Personne n'a oublié que Nelligan, à qui, plus jeune, Jacques Ferron a déjà rendu visite, y a passé des années sombres entre folie et oubli.
« Le pas de Gamelin », le texte inaugural, très largement autobiographique, est pour plusieurs l'un des moments forts de toute son entreprise littéraire.