Derrida à Montréal (Une pièce en trois actes)

Par : Michael Naas
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  • Nombre de pages160
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.176 kg
  • Dimensions12,6 cm × 19,1 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-7606-4093-1
  • EAN9782760640931
  • Date de parution11/06/2020
  • CollectionHumanités à venir
  • ÉditeurPU Montréal
  • PostfacierGeorges Leroux
  • PréfacierGinette Michaud

Résumé

Derrida à Montréal n'est pas le titre d'une pièce de théâtre, mais celui d'un essai qui suit, en trois actes, trois événements singuliers qui ont eu lieu à Montréal et auxquels Jacques Derrida a participé en 1971, en 1979 et en 1997. Au "Premier Acte", Michael Naas relit de près la première communication du philosophe, "Signature événement contexte", un texte qui prend très au sérieux - et les critique tout à la fois - la théorie des speech acts de John L.
Austin et les questions du contexte, de la présence, de l'écriture, de l'événement et de la signature qui lui sont liées. Au "Deuxième Actes, on retrouve Derrida traitant de ces mêmes questions, mais d'un point de vue politique où il s'intéresse aux "Déclarations d'Indépendance". Enfin, au "Troisième Acte", Derrida poursuit cette discussion ininterrompue qui se concentre, une fois de plus, sur ces mêmes aspects, mais à la lumière de la notion d'événement.
C'est comme si Montréal avait chaque fois été la scène rêvée où Derrida avait pu explorer ces questions pour lui cruciales.
Derrida à Montréal n'est pas le titre d'une pièce de théâtre, mais celui d'un essai qui suit, en trois actes, trois événements singuliers qui ont eu lieu à Montréal et auxquels Jacques Derrida a participé en 1971, en 1979 et en 1997. Au "Premier Acte", Michael Naas relit de près la première communication du philosophe, "Signature événement contexte", un texte qui prend très au sérieux - et les critique tout à la fois - la théorie des speech acts de John L.
Austin et les questions du contexte, de la présence, de l'écriture, de l'événement et de la signature qui lui sont liées. Au "Deuxième Actes, on retrouve Derrida traitant de ces mêmes questions, mais d'un point de vue politique où il s'intéresse aux "Déclarations d'Indépendance". Enfin, au "Troisième Acte", Derrida poursuit cette discussion ininterrompue qui se concentre, une fois de plus, sur ces mêmes aspects, mais à la lumière de la notion d'événement.
C'est comme si Montréal avait chaque fois été la scène rêvée où Derrida avait pu explorer ces questions pour lui cruciales.