Ce livre de Jean Pierre Vidal est le deuxième tome d'Exercice de l'adieu, paru en 2018 chez le même éditeur. L'auteur nous livre les traces d'un chemin où le hasard joue son rôle, apportant les joies les plus inattendues, les rencontres heureuses et les "douleurs impraticables". "Dire adieu se fait en une infinité de temps séparés, non en un instant décisif." Dans le calme du monde, ou au fil de quelques heures de silence, en évoquant la vie de son père et de sa mère, "la conscience de la perte qui se fait dans l'adieu est une victoire sur le néant".
Dans les trajets ferroviaires, entre la chambre de l'attente et l'atelier actif de l'amour, l'auteur vit ces moments d'acceptation de la perte, ou ces temps d'accueil du monde : "Trouver par le hasard le plus évident la position judicieuse, pertinente, exacte pour voir le monde". Ces récits nous disent l'importance des instants de dépossession de soi qui font de la perte des êtres aimés une réalité douloureuse mais baignée d'amour vivant.
"Ainsi le néant n'a pas le dernier mot".
Ce livre de Jean Pierre Vidal est le deuxième tome d'Exercice de l'adieu, paru en 2018 chez le même éditeur. L'auteur nous livre les traces d'un chemin où le hasard joue son rôle, apportant les joies les plus inattendues, les rencontres heureuses et les "douleurs impraticables". "Dire adieu se fait en une infinité de temps séparés, non en un instant décisif." Dans le calme du monde, ou au fil de quelques heures de silence, en évoquant la vie de son père et de sa mère, "la conscience de la perte qui se fait dans l'adieu est une victoire sur le néant".
Dans les trajets ferroviaires, entre la chambre de l'attente et l'atelier actif de l'amour, l'auteur vit ces moments d'acceptation de la perte, ou ces temps d'accueil du monde : "Trouver par le hasard le plus évident la position judicieuse, pertinente, exacte pour voir le monde". Ces récits nous disent l'importance des instants de dépossession de soi qui font de la perte des êtres aimés une réalité douloureuse mais baignée d'amour vivant.
"Ainsi le néant n'a pas le dernier mot".