Critique N° 937-938, juin 2025
Frontières du noir
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- Nombre de pages144
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.276 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-7073-5659-8
- EAN9782707356598
- Date de parution12/06/2025
- ÉditeurMinuit (Les Editions de)
Résumé
Le quatre-vingtième anniversaire de la "Série noire" , fameuse collection criminelle publiée par les éditions Gallimard, offre l'occasion rêvée de revenir sur l'emprise d'un genre littéraire populaire qui a essaimé bien au-delà de ses frontières états-uniennes d'origine, très vite conquis le cinéma - avant les séries télévisées et la bande dessinée - et gagné des lettres de noblesse institutionnelles : personne ou presque n'oserait contester son statut de "grantécrivain" à un Raymond Chandler.
Frontières du noir, titre choisi en hommage à Eric Ambler, se propose d'explorer en priorité les domaines français, américain et britannique (avec tout de même une excursion japonaise) en privilégiant tout d'abord le pas de côté : Charles Dickens ou Francis Carco, Michael Curtiz ou François Truffaut, ces noms donnent quelque idée d'une approche volontiers périphérique. Le noir s'étend dès lors sans se diluer et permet de penser à nouveaux frais les enjeux d'une permanence d'un genre pensé comme un recours, plus inquiétant qu'apaisant, aux angoisses du temps.
Frontières du noir, titre choisi en hommage à Eric Ambler, se propose d'explorer en priorité les domaines français, américain et britannique (avec tout de même une excursion japonaise) en privilégiant tout d'abord le pas de côté : Charles Dickens ou Francis Carco, Michael Curtiz ou François Truffaut, ces noms donnent quelque idée d'une approche volontiers périphérique. Le noir s'étend dès lors sans se diluer et permet de penser à nouveaux frais les enjeux d'une permanence d'un genre pensé comme un recours, plus inquiétant qu'apaisant, aux angoisses du temps.
Le quatre-vingtième anniversaire de la "Série noire" , fameuse collection criminelle publiée par les éditions Gallimard, offre l'occasion rêvée de revenir sur l'emprise d'un genre littéraire populaire qui a essaimé bien au-delà de ses frontières états-uniennes d'origine, très vite conquis le cinéma - avant les séries télévisées et la bande dessinée - et gagné des lettres de noblesse institutionnelles : personne ou presque n'oserait contester son statut de "grantécrivain" à un Raymond Chandler.
Frontières du noir, titre choisi en hommage à Eric Ambler, se propose d'explorer en priorité les domaines français, américain et britannique (avec tout de même une excursion japonaise) en privilégiant tout d'abord le pas de côté : Charles Dickens ou Francis Carco, Michael Curtiz ou François Truffaut, ces noms donnent quelque idée d'une approche volontiers périphérique. Le noir s'étend dès lors sans se diluer et permet de penser à nouveaux frais les enjeux d'une permanence d'un genre pensé comme un recours, plus inquiétant qu'apaisant, aux angoisses du temps.
Frontières du noir, titre choisi en hommage à Eric Ambler, se propose d'explorer en priorité les domaines français, américain et britannique (avec tout de même une excursion japonaise) en privilégiant tout d'abord le pas de côté : Charles Dickens ou Francis Carco, Michael Curtiz ou François Truffaut, ces noms donnent quelque idée d'une approche volontiers périphérique. Le noir s'étend dès lors sans se diluer et permet de penser à nouveaux frais les enjeux d'une permanence d'un genre pensé comme un recours, plus inquiétant qu'apaisant, aux angoisses du temps.