L'écran éblouissant. Voyages en Cinéphilie (1958-2010)

Par : Michel Mourlet

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  • Nombre de pages294
  • PrésentationBroché
  • Poids0.347 kg
  • Dimensions13,6 cm × 20,0 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-13-058684-5
  • EAN9782130586845
  • Date de parution09/02/2011
  • CollectionPerspectives critiques
  • ÉditeurPUF
  • PréfacierMarc Cerisuelo

Résumé

"La cinéphilie m'apparaît comme une île assez lointaine où l'on ne va plus guère ; en tout cas, on ne s'y rend plus de la même façon que dans ma jeunesse. Il nous arrivait souvent de sauter dans un train, dans un avion, pour voir un filin à Londres, assister à une rétrospective à Milan ou faire la connaissance d'un metteur en scène américain clans un festival espagnol. Ce que j'appelle " Voyages en Cinéphilie ", c'était cela, au sens propre mais aussi au sens figuré : des découvertes incessantes, des rencontres, des amitiés surtout.
Bien plus qu'une manie de collectionneur, qu'une accumulation d'images tapissant nos boîtes crâniennes, la Cinéphilie pour nous était un art de vivre. Les chapitres qui relatent ici mes " voyages " s'échelonnent sur plus d'un demi-siècle. Bazin, Tati, Sautel, Tavernier, Rohmer, Losey, Lang, DeMille, Preminger, Cottafavi, un dialogue très singulier avec Hubert Ricard - philosophe lacanien et cinéphile mac-mahonien de la génération suivante - constituent les haltes majeures de cet itinéraire, depuis l'éblouissement, les enthousiasmes et les colères des débuts jusqu'au regard apaisé d'aujourd'hui" Michel Mourlet
"La cinéphilie m'apparaît comme une île assez lointaine où l'on ne va plus guère ; en tout cas, on ne s'y rend plus de la même façon que dans ma jeunesse. Il nous arrivait souvent de sauter dans un train, dans un avion, pour voir un filin à Londres, assister à une rétrospective à Milan ou faire la connaissance d'un metteur en scène américain clans un festival espagnol. Ce que j'appelle " Voyages en Cinéphilie ", c'était cela, au sens propre mais aussi au sens figuré : des découvertes incessantes, des rencontres, des amitiés surtout.
Bien plus qu'une manie de collectionneur, qu'une accumulation d'images tapissant nos boîtes crâniennes, la Cinéphilie pour nous était un art de vivre. Les chapitres qui relatent ici mes " voyages " s'échelonnent sur plus d'un demi-siècle. Bazin, Tati, Sautel, Tavernier, Rohmer, Losey, Lang, DeMille, Preminger, Cottafavi, un dialogue très singulier avec Hubert Ricard - philosophe lacanien et cinéphile mac-mahonien de la génération suivante - constituent les haltes majeures de cet itinéraire, depuis l'éblouissement, les enthousiasmes et les colères des débuts jusqu'au regard apaisé d'aujourd'hui" Michel Mourlet