Wolfgang Amadeo Mozart. "Rêver avec les sons"

Par : Michèle Lhopiteau-Dorfeuille

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  • Nombre de pages260
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.388 kg
  • Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-38519-119-1
  • EAN9782385191191
  • Date de parution07/05/2025
  • CollectionToutes les clés pour explorer
  • ÉditeurLe Bord de l'eau

Résumé

Aujourd'hui épuisée, la première version (publiée en 2011) s'est vendue à plus de 3000 exemplaires. Michèle Lhopiteau-Dorfeuille, musicologue et chef de choeur - inconditionnelle de la musique de Mozart - a décidé de faire abstraction à la fois du film Amadeus et de tout ce qu'elle avait pu lire pendant et depuis ses études au Conservatoire de Bordeaux ; afin d'effectuer un indispensable retour aux sources en s'immergeant dans les sept tomes de la correspondance complète de la famille Mozart, traduite en français par Geneviève Geffray - l'actuelle conservatrice de la bibliothèque du Mozarteum de Salzbourg.
Elle a, au fil des mois et des pages, découvert un compositeur beaucoup plus mûr, beaucoup plus drôle, beaucoup plus "moderne" , en fait, que l'image - d' "éternel enfant" un peu niais - qui en est trop souvent véhiculée. En citant de nombreux et larges extraits des lettres de Wolfgang et de son père, elle a tenu à mettre le lecteur en prise directe avec les personnages - en s'efforçant de faire le moins possible écran entre eux et lui.
Par sa lecture profondément humaine et empathique des relations entre Mozart et les siens, Michèle Lhopiteau-Dorfeuille a su nous faire oublier son long et minutieux travail de recherche et de synthèse pour nous faire comprendre et aimer le personnage qu'elle nous présente sous divers éclairages : sa condition de musicien sous l'Ancien Régime, son "enfance prodige" , ses relations avec les femmes, son rapport à la mortâAAAAAA ? - Ses recherches ont même amené l'auteur à comprendre, à sa grande surprise car elle croyait l'affaire depuis longtemps classée, de quoi et pourquoi Mozart - qui n'a jamais été jeté à la fosse commune ! - était mort à presque 36 ansâAAAAAA ? - à un moment de sa vie où son immense talent était enfin reconnu, et où tout lui souriait.
Au cours de cette minutieuse enquête, Michèle Lhopiteau-Dorfeuille fit une autre découverte : que les premières notes et le rythme de La Marseillaise - dont seules les paroles sont de Rouget de Lisle - provenaient, en toute connaissance de cause, d'un concerto de Mozart !
Aujourd'hui épuisée, la première version (publiée en 2011) s'est vendue à plus de 3000 exemplaires. Michèle Lhopiteau-Dorfeuille, musicologue et chef de choeur - inconditionnelle de la musique de Mozart - a décidé de faire abstraction à la fois du film Amadeus et de tout ce qu'elle avait pu lire pendant et depuis ses études au Conservatoire de Bordeaux ; afin d'effectuer un indispensable retour aux sources en s'immergeant dans les sept tomes de la correspondance complète de la famille Mozart, traduite en français par Geneviève Geffray - l'actuelle conservatrice de la bibliothèque du Mozarteum de Salzbourg.
Elle a, au fil des mois et des pages, découvert un compositeur beaucoup plus mûr, beaucoup plus drôle, beaucoup plus "moderne" , en fait, que l'image - d' "éternel enfant" un peu niais - qui en est trop souvent véhiculée. En citant de nombreux et larges extraits des lettres de Wolfgang et de son père, elle a tenu à mettre le lecteur en prise directe avec les personnages - en s'efforçant de faire le moins possible écran entre eux et lui.
Par sa lecture profondément humaine et empathique des relations entre Mozart et les siens, Michèle Lhopiteau-Dorfeuille a su nous faire oublier son long et minutieux travail de recherche et de synthèse pour nous faire comprendre et aimer le personnage qu'elle nous présente sous divers éclairages : sa condition de musicien sous l'Ancien Régime, son "enfance prodige" , ses relations avec les femmes, son rapport à la mortâAAAAAA ? - Ses recherches ont même amené l'auteur à comprendre, à sa grande surprise car elle croyait l'affaire depuis longtemps classée, de quoi et pourquoi Mozart - qui n'a jamais été jeté à la fosse commune ! - était mort à presque 36 ansâAAAAAA ? - à un moment de sa vie où son immense talent était enfin reconnu, et où tout lui souriait.
Au cours de cette minutieuse enquête, Michèle Lhopiteau-Dorfeuille fit une autre découverte : que les premières notes et le rythme de La Marseillaise - dont seules les paroles sont de Rouget de Lisle - provenaient, en toute connaissance de cause, d'un concerto de Mozart !