Ludwig van Beethoven. "L'art pour unique raison de vivre"
avec 2 CD audio
Par : Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages262
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.45 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-35687-488-7
- EAN9782356874887
- Date de parution10/04/2017
- CollectionToutes les clés pour explorer
- ÉditeurLe Bord de l'eau
Résumé
Ludwig van Beethoven fut un paradoxe vivant : ce visionnaire capable de concevoir des architectures sonores aussi spectaculaires que la "Neuvième Symphonie" ou la "Missa Solemnis" eut toute sa vie le plus grand mal à effectuer une simple addition. Cet homme dont le père alcoolique et maltraitant aurait dû être déchu de ses droits fit le malheur de son neveu de 9 ans - dont il avait exigé et obtenu la garde contre l'avis de l'enfant et de sa mère.
Cet artiste vu par la postérité comme un révolutionnaire de coeur, tenant la dragée haute aux aristocrates, bénéficia longtemps d'une confortable rente versée par les nobles les plus fortunés et les plus conservateurs de Vienne. Cet homme dont les Lieder et les sonates pour piano sont un concentré de passion n'aima toute sa vie que des femmes promises ou mariées à d'autres - sans jamais conserver l'amour d'une seule.
Last but not least, ce poète du clavier, ce magicien des sons a vu, dès l'âge de 27 ans, son ouïe se dégrader progressivement et passa les 30 dernières années de sa vie dans un terrible chaos sonore, suivi d'un silence presque total. Il n'existe donc qu'une manière d'approcher quelqu'un d'aussi déroutant que Ludwig van Beethoven, pas toujours facile à comprendre mais sans qui notre monde ne serait pas tout à fait ce qu'il est : s'immerger encore et toujours dans sa musique, s'en imprégner, ne se fier qu'à elle - comme le compositeur l'avait pressenti dans ses "Carnets intimes" de 1816 : "Ne vis désormais que pour ton Art.
Aussi limité par la faiblesse de tes sens que soit aujourd'hui ton horizon, l'Art est ton unique raison de vivre."
Cet artiste vu par la postérité comme un révolutionnaire de coeur, tenant la dragée haute aux aristocrates, bénéficia longtemps d'une confortable rente versée par les nobles les plus fortunés et les plus conservateurs de Vienne. Cet homme dont les Lieder et les sonates pour piano sont un concentré de passion n'aima toute sa vie que des femmes promises ou mariées à d'autres - sans jamais conserver l'amour d'une seule.
Last but not least, ce poète du clavier, ce magicien des sons a vu, dès l'âge de 27 ans, son ouïe se dégrader progressivement et passa les 30 dernières années de sa vie dans un terrible chaos sonore, suivi d'un silence presque total. Il n'existe donc qu'une manière d'approcher quelqu'un d'aussi déroutant que Ludwig van Beethoven, pas toujours facile à comprendre mais sans qui notre monde ne serait pas tout à fait ce qu'il est : s'immerger encore et toujours dans sa musique, s'en imprégner, ne se fier qu'à elle - comme le compositeur l'avait pressenti dans ses "Carnets intimes" de 1816 : "Ne vis désormais que pour ton Art.
Aussi limité par la faiblesse de tes sens que soit aujourd'hui ton horizon, l'Art est ton unique raison de vivre."
Ludwig van Beethoven fut un paradoxe vivant : ce visionnaire capable de concevoir des architectures sonores aussi spectaculaires que la "Neuvième Symphonie" ou la "Missa Solemnis" eut toute sa vie le plus grand mal à effectuer une simple addition. Cet homme dont le père alcoolique et maltraitant aurait dû être déchu de ses droits fit le malheur de son neveu de 9 ans - dont il avait exigé et obtenu la garde contre l'avis de l'enfant et de sa mère.
Cet artiste vu par la postérité comme un révolutionnaire de coeur, tenant la dragée haute aux aristocrates, bénéficia longtemps d'une confortable rente versée par les nobles les plus fortunés et les plus conservateurs de Vienne. Cet homme dont les Lieder et les sonates pour piano sont un concentré de passion n'aima toute sa vie que des femmes promises ou mariées à d'autres - sans jamais conserver l'amour d'une seule.
Last but not least, ce poète du clavier, ce magicien des sons a vu, dès l'âge de 27 ans, son ouïe se dégrader progressivement et passa les 30 dernières années de sa vie dans un terrible chaos sonore, suivi d'un silence presque total. Il n'existe donc qu'une manière d'approcher quelqu'un d'aussi déroutant que Ludwig van Beethoven, pas toujours facile à comprendre mais sans qui notre monde ne serait pas tout à fait ce qu'il est : s'immerger encore et toujours dans sa musique, s'en imprégner, ne se fier qu'à elle - comme le compositeur l'avait pressenti dans ses "Carnets intimes" de 1816 : "Ne vis désormais que pour ton Art.
Aussi limité par la faiblesse de tes sens que soit aujourd'hui ton horizon, l'Art est ton unique raison de vivre."
Cet artiste vu par la postérité comme un révolutionnaire de coeur, tenant la dragée haute aux aristocrates, bénéficia longtemps d'une confortable rente versée par les nobles les plus fortunés et les plus conservateurs de Vienne. Cet homme dont les Lieder et les sonates pour piano sont un concentré de passion n'aima toute sa vie que des femmes promises ou mariées à d'autres - sans jamais conserver l'amour d'une seule.
Last but not least, ce poète du clavier, ce magicien des sons a vu, dès l'âge de 27 ans, son ouïe se dégrader progressivement et passa les 30 dernières années de sa vie dans un terrible chaos sonore, suivi d'un silence presque total. Il n'existe donc qu'une manière d'approcher quelqu'un d'aussi déroutant que Ludwig van Beethoven, pas toujours facile à comprendre mais sans qui notre monde ne serait pas tout à fait ce qu'il est : s'immerger encore et toujours dans sa musique, s'en imprégner, ne se fier qu'à elle - comme le compositeur l'avait pressenti dans ses "Carnets intimes" de 1816 : "Ne vis désormais que pour ton Art.
Aussi limité par la faiblesse de tes sens que soit aujourd'hui ton horizon, l'Art est ton unique raison de vivre."