Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
Après Littérature et théologie, une saison en enfer, premier tome de sa trilogie sur la poétique de la théologie, Olivier-Thomas Venard aborde dans...
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Livré chez vous entre le 5 décembre et le 10 décembre
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Résumé
Après Littérature et théologie, une saison en enfer, premier tome de sa trilogie sur la poétique de la théologie, Olivier-Thomas Venard aborde dans ce volume la question de l'être du langage et de la place qui lui est faite
dans le dire théorique, qu'il soit linguistique, philosophique ou théologique. Quelle est l'origine du langage ? Est-il révélé ? Est-ce le fruit d'une lente maturation humaine ? Comment les anges parlent-ils ?
Peut-on penser sans paroles ? Les choses ont-elles un langage ? Reprenant la méthode dialogale du premier volume, l'auteur ne se tourne plus vers les poètes mais vers les philosophes et les théologiens pour élucider la question de l'origine du langage. Aux côtés de Thomas
d'Aquin, exemple privilégié, Jacques Maritain, Etienne Gilson, Louis de Bonald, mais aussi Emile Benvéniste, Jacques Derrida ou Jean-Louis Chrétien sont quelques uns des interlocuteurs choisis en raison de leurs
réflexions sur la langue théologique. Au terme de cette recherche, Olivier-Thomas Venard arrive à cette conclusion, qui prépare les développements proprement liturgiques et mystiques du troisième volume : le langage humain participe au Logos, à la Parole par excellence, en qui il prend sa source. Il en est comme une mystérieuse
" pré-incarnation ", et quand l'homme en prend conscience, en découvrant l'Incarnation du Logos - Jésus-Christ - il réalise en même temps que la parole humaine n'est pas faite d'abord pour posséder, mais pour
admirer. La connaissance s'épanouit alors spontanément en louange, la quête de la vérité de tout être et de Dieu devient doxologie.
Sommaire
LE POINT DE DEPART DE LA METAPHYSIQUE, ETUDE D'HISTOIRE DE LA RECEPTION
Etienne Gilson, Jacques Maritain, deux positions
Un débat
Essai d'interprétation : l'oubli du langage
L'IMPORTANCE DU LANGAGE DANS L'ŒUVRE DE SAINT THOMAS D'AQUIN
Olivier-Thomas Venard. Né en 1967, ancien élève de l'Ecole Normale Supérieure, est prêtre dans l'ordre des Dominicains. Après se formation au Studium de théologie de Toulouse, il enseigne à l'Ecole Biblique et archéologique française de Jérusalem.
Thomas d'Aquin, poète théologien - Volume 2, La langue de l'ineffable, Essai sur le fondement théologique de la métaphysique est également présent dans les rayons