D'un coup de crayon magique, Coline Pierré change le destin tragique de Sylvia Plath ! Pourquoi pas réécrire l'histoire ?! Pourquoi pas imaginer une nouvelle vie à l'écrivaine qui s'est donné la mort à 31 ans ?! Pourquoi pas la vie ?!
C’est avec beaucoup de plaisir qu’on lit cette vie inventée, dans laquelle l’américaine Sylvia Plath mène de front sa vie de mère, de femme libre et d’artiste dans une Angleterre des années soixante terriblement conservatrice. Coline Pierré rend un bel hommage à l’esprit vif et éclairé de la poétesse féministe. Elle dresse un portrait qui sonne très juste et l’inscrit aussi dans des problématiques très actuelles : Sylvia Plath est une jeune femme qui cherche sa place dans un monde d’hommes. Malgré les doutes et ses moments d’accablement les plus sombres, sa soif d’indépendance est délicieusement contagieuse.
Un roman frais et léger qui incontestablement nous invite à découvrir (ou redécouvrir) Sylvia Plath et son œuvre.
Karl Kraus (1874-1936) a publié à Vienne, depuis le début du mois d'avril 1899 jusqu'en février 1936, une revue satirique intitulée Die Fackel (Le...
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Résumé
Karl Kraus (1874-1936) a publié à Vienne, depuis le début du mois d'avril 1899 jusqu'en février 1936, une revue satirique intitulée Die Fackel (Le Flambeau), dont il était au départ seulement l'éditeur-responsable et dont il est devenu à partir de 1912 le seul auteur. Pendant toutes ces années, les satires et les polémiques, parfois féroces, de Kraus ont visé essentiellement la presse, qu'il considérait comme responsable de la corruption en Autriche. A ses yeux, la presse, en particulier libérale, n'est qu'un auxiliaire dévoué et indispensable dans le système du marché universel qui est en train de s'instaurer. Et la corruption du langage, à laquelle elle contribue de façon essentielle, est indissolublement liée à la corruption morale elle-même, dont elle constitue le symbole par excellence. Il n'est pas exagéré de dire que Kraus a fourni la première critique des médias et des systèmes de communication moderne qui soit réellement à la hauteur du phénomène. Jacques Bouveresse analyse minutieusement cette critique du journalisme, pour en montrer la pertinence et la modernité.