Paulo Freire et la pédagogie de la conscientisation. Modèle de l'école africaine pour le changement sociétal

Par : Chrysostome Cijika Kayombo
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  • Nombre de pages486
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.749 kg
  • Dimensions15,4 cm × 23,7 cm × 3,7 cm
  • ISBN978-2-343-14036-0
  • EAN9782343140360
  • Date de parution05/03/2018
  • CollectionEtudes africaines
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

L'oeuvre écrite par Paulo Freire et ses innombrables interventions publiques constituent une mine de réflexions sur l'école. Certes, il ne faut pas oublier qu'au fil de son périple intellectuel de près d'un demi-siècle, ses idées ont beaucoup évolué, mais il ne faut pas que cela nous empêche de refaire la lecture de l'oeuvre de ce grand pédagogue brésilien en fonction des questions spécifiques d'actualité.
Cet ouvrage montre qu'en Afrique, l'école apparaît souvent comme une entreprise destructrice, plus encore que l'érosion de son sol et le déboisement de sa forêt. Pour que disparaisse la contradiction qu'il y a entre la société et l'école qui est l'instrument de son destin, il faudra qu'elle s'approprie les valeurs morales disparues dans la société africaine. L'école demeure donc un dernier espoir pour le salut de la jeunesse aux mentalités non encore entamées.
L'oeuvre écrite par Paulo Freire et ses innombrables interventions publiques constituent une mine de réflexions sur l'école. Certes, il ne faut pas oublier qu'au fil de son périple intellectuel de près d'un demi-siècle, ses idées ont beaucoup évolué, mais il ne faut pas que cela nous empêche de refaire la lecture de l'oeuvre de ce grand pédagogue brésilien en fonction des questions spécifiques d'actualité.
Cet ouvrage montre qu'en Afrique, l'école apparaît souvent comme une entreprise destructrice, plus encore que l'érosion de son sol et le déboisement de sa forêt. Pour que disparaisse la contradiction qu'il y a entre la société et l'école qui est l'instrument de son destin, il faudra qu'elle s'approprie les valeurs morales disparues dans la société africaine. L'école demeure donc un dernier espoir pour le salut de la jeunesse aux mentalités non encore entamées.