Le Marquis de Sade (1740-1814) de ces "historiettes" n'est pas encore l'écrivain sulfureux et violent que célébrera Guillaume Apollinaire au début du 20e Siècle, et plus tard, le Mouvement surréaliste.
Lettres à sa femme
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- Nombre de pages460
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.32 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 2,7 cm
- ISBN978-2-7427-7302-2
- EAN9782742773022
- Date de parution14/12/2007
- CollectionBabel
- ÉditeurActes Sud
- PréfacierMarc Buffat
Résumé
Dans la prison d'Etat de Vincennes où il est ramené en 1778, Sade passe près de six ans pendant lesquels il écrit régulièrement à sa femme, seul lien désormais entre le monde et un univers carcéral particulièrement contraignant. Les lettres présentées ici tracent un portrait incisif, ironique et pathétique de l'auteur de La Philosophie dans le boudoir. Ce dernier lit et écrit dans une chambre sans feu, au milieu des immondices, des rats, de la vermine.
Sans relâche, il dit sa souffrance et sa colère, rappelle l'injustice de sa condamnation, dénonce la bêtise des geôliers, réclame de l'extérieur quelque douceur, gâteau ou confiture, coussin ou drap de laine. Dans l'attente anxieuse d'une libération dont il ne connaît pas la date, il met en cause, de manière parfois virulente, les agissements de ses proches et le fonctionnement de la société qui est la sienne.
Sans relâche, il dit sa souffrance et sa colère, rappelle l'injustice de sa condamnation, dénonce la bêtise des geôliers, réclame de l'extérieur quelque douceur, gâteau ou confiture, coussin ou drap de laine. Dans l'attente anxieuse d'une libération dont il ne connaît pas la date, il met en cause, de manière parfois virulente, les agissements de ses proches et le fonctionnement de la société qui est la sienne.
Dans la prison d'Etat de Vincennes où il est ramené en 1778, Sade passe près de six ans pendant lesquels il écrit régulièrement à sa femme, seul lien désormais entre le monde et un univers carcéral particulièrement contraignant. Les lettres présentées ici tracent un portrait incisif, ironique et pathétique de l'auteur de La Philosophie dans le boudoir. Ce dernier lit et écrit dans une chambre sans feu, au milieu des immondices, des rats, de la vermine.
Sans relâche, il dit sa souffrance et sa colère, rappelle l'injustice de sa condamnation, dénonce la bêtise des geôliers, réclame de l'extérieur quelque douceur, gâteau ou confiture, coussin ou drap de laine. Dans l'attente anxieuse d'une libération dont il ne connaît pas la date, il met en cause, de manière parfois virulente, les agissements de ses proches et le fonctionnement de la société qui est la sienne.
Sans relâche, il dit sa souffrance et sa colère, rappelle l'injustice de sa condamnation, dénonce la bêtise des geôliers, réclame de l'extérieur quelque douceur, gâteau ou confiture, coussin ou drap de laine. Dans l'attente anxieuse d'une libération dont il ne connaît pas la date, il met en cause, de manière parfois virulente, les agissements de ses proches et le fonctionnement de la société qui est la sienne.