Les représentations de l'oral chez Lagarce. Continuité, discontinuité, reprise
Par : ,Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages250
- PrésentationBroché
- Poids0.21 kg
- Dimensions1,4 cm × 2,2 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-8061-0056-6
- EAN9782806100566
- Date de parution28/04/2012
- CollectionSciences du langage : carrefou
- ÉditeurAcademia/L'Harmattan
Résumé
Carrefour des études actuelles plus générales sur la langue orale, le texte de Lagarce est un Lieu d'accueil des plus provocateurs pour débattre des différents points de vue sur les représentations de la langue orale dans le texte littéraire. L'ouvrage interroge, d'un point de vue strictement linguistique, le texte théâtral de Lagarce Juste la fin du monde, dans ses spécificités de texte littéraire destiné à "faire oral", et plus précisément à travers les modalités de la représentation de l'oral qu'il construit tant sur le plan énonciatif (chapitre 1) que typographique (chapitre 2) et syntaxique (chapitres 3 à 5).
Si la langue ici montrée emprunte à l'oral ordinaire des formes Linguistiques qui rendent saillante la discontinuité du flux de paroles spontané, dans Le même temps, elle exhibe également la continuité du fil du discours qui se voit toujours, d'une façon ou d'une autre, rattrapé, relancé.
Si la langue ici montrée emprunte à l'oral ordinaire des formes Linguistiques qui rendent saillante la discontinuité du flux de paroles spontané, dans Le même temps, elle exhibe également la continuité du fil du discours qui se voit toujours, d'une façon ou d'une autre, rattrapé, relancé.
Carrefour des études actuelles plus générales sur la langue orale, le texte de Lagarce est un Lieu d'accueil des plus provocateurs pour débattre des différents points de vue sur les représentations de la langue orale dans le texte littéraire. L'ouvrage interroge, d'un point de vue strictement linguistique, le texte théâtral de Lagarce Juste la fin du monde, dans ses spécificités de texte littéraire destiné à "faire oral", et plus précisément à travers les modalités de la représentation de l'oral qu'il construit tant sur le plan énonciatif (chapitre 1) que typographique (chapitre 2) et syntaxique (chapitres 3 à 5).
Si la langue ici montrée emprunte à l'oral ordinaire des formes Linguistiques qui rendent saillante la discontinuité du flux de paroles spontané, dans Le même temps, elle exhibe également la continuité du fil du discours qui se voit toujours, d'une façon ou d'une autre, rattrapé, relancé.
Si la langue ici montrée emprunte à l'oral ordinaire des formes Linguistiques qui rendent saillante la discontinuité du flux de paroles spontané, dans Le même temps, elle exhibe également la continuité du fil du discours qui se voit toujours, d'une façon ou d'une autre, rattrapé, relancé.