Les représentations de l'oral chez Lagarce. Continuité, discontinuité, reprise
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- Nombre de pages170
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-48973-8
- EAN9782296489738
- Date de parution04/05/2012
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille837 Ko
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Carrefour des études actuelles plus générales sur la langue orale, le texte de Lagarce est un lieu d'accueil des plus provocateurs pour débattre des différents points de vue sur les représentations de la langue orale dans le texte littéraire. L'ouvrage interroge d’un point de vue strictement linguistique le texte théâtral de Lagarce Juste la fin du monde, dans ses spécificités de texte littéraire destiné à « faire oral », et plus précisément à travers les modalités de la représentation de l’oral qu’il construit tant sur le plan énonciatif (chapitre 1) que typographique (chapitre 2) et syntaxique (chapitres 3 à 5).
Si la langue ici montrée emprunte à l'oral ordinaire des formes linguistiques qui rendent saillante la discontinuité du flux de paroles spontané, dans le même temps, elle exhibe également la continuité du fil du discours qui se voit toujours, d'une façon ou d'une autre, rattrapé, relancé.
Si la langue ici montrée emprunte à l'oral ordinaire des formes linguistiques qui rendent saillante la discontinuité du flux de paroles spontané, dans le même temps, elle exhibe également la continuité du fil du discours qui se voit toujours, d'une façon ou d'une autre, rattrapé, relancé.
Carrefour des études actuelles plus générales sur la langue orale, le texte de Lagarce est un lieu d'accueil des plus provocateurs pour débattre des différents points de vue sur les représentations de la langue orale dans le texte littéraire. L'ouvrage interroge d’un point de vue strictement linguistique le texte théâtral de Lagarce Juste la fin du monde, dans ses spécificités de texte littéraire destiné à « faire oral », et plus précisément à travers les modalités de la représentation de l’oral qu’il construit tant sur le plan énonciatif (chapitre 1) que typographique (chapitre 2) et syntaxique (chapitres 3 à 5).
Si la langue ici montrée emprunte à l'oral ordinaire des formes linguistiques qui rendent saillante la discontinuité du flux de paroles spontané, dans le même temps, elle exhibe également la continuité du fil du discours qui se voit toujours, d'une façon ou d'une autre, rattrapé, relancé.
Si la langue ici montrée emprunte à l'oral ordinaire des formes linguistiques qui rendent saillante la discontinuité du flux de paroles spontané, dans le même temps, elle exhibe également la continuité du fil du discours qui se voit toujours, d'une façon ou d'une autre, rattrapé, relancé.