Lélius. De l'amitié

Par : Cicéron
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  • Nombre de pages212
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.228 kg
  • Dimensions12,5 cm × 19,2 cm × 1,2 cm
  • ISBN2-251-01033-5
  • EAN9782251010335
  • Date de parution01/12/2002
  • CollectionUniversités de France. Latine
  • ÉditeurBelles Lettres

Résumé

Assis chez lui dans son hémicycle, Quintus Mucius Scevola raconte à ses familiers la visite qu'il rendit à son beau-père Lelius en 129 avant Jésus-Christ. L'occasion de ce récit est la lutte qui oppose en 88 avant J-C le consul Quintus Pompéius Rufus et le tribun de la Plèbe Sulpicius, amis et alliés jusque là. Qu'est-ce que l'amitié ? Quelles sont ses origines et comment la préserver ? Telles sont les questions sur lesquelles s'interrogent Lelius et ses deux gendres, Fannius et Scevola.
Par ce jeu de récits enchâssés, Cicéron renoue avec le Cato Major : l'entretien est déplacé dans un passé lointain, et, ce qui n'est pas sans importance, républicain. Le dialogue philosophique entre Lelius, Scevola et Fannius est ainsi coupé des réalités présentes. Le texte appartient donc à la veine philosophique de Cicéron et fut probablement rédigé à l'extrême fin de l'année 44, entre le Cato Major et le De Officiis.
Notre édition présente en un volume ce classique de l'ouvre cicéronienne. La riche introduction fait le point sur les problèmes de datations relatifs au texte et fournit tous les renseignements historiques nécessaires à la bonne intelligence de celui-ci. Les personnages, réels, sont brièvement décrits, tandis qu'un plan, permettant de circuler aisément dans le traité, est fourni. Les sources philosophiques de Cicéron, d'Héraclite à Théophraste, en passant par Aristote, sont analysées en détail et assorties d'une brève notice bibliographique.
L'histoire des manuscrits est relatée avec précision. Des notes accompagnent la lecture sont développées, en fin d'ouvrage, par des notes complémentaires. L'ouvrage est en outre enrichi d'un Index Nominum.
Assis chez lui dans son hémicycle, Quintus Mucius Scevola raconte à ses familiers la visite qu'il rendit à son beau-père Lelius en 129 avant Jésus-Christ. L'occasion de ce récit est la lutte qui oppose en 88 avant J-C le consul Quintus Pompéius Rufus et le tribun de la Plèbe Sulpicius, amis et alliés jusque là. Qu'est-ce que l'amitié ? Quelles sont ses origines et comment la préserver ? Telles sont les questions sur lesquelles s'interrogent Lelius et ses deux gendres, Fannius et Scevola.
Par ce jeu de récits enchâssés, Cicéron renoue avec le Cato Major : l'entretien est déplacé dans un passé lointain, et, ce qui n'est pas sans importance, républicain. Le dialogue philosophique entre Lelius, Scevola et Fannius est ainsi coupé des réalités présentes. Le texte appartient donc à la veine philosophique de Cicéron et fut probablement rédigé à l'extrême fin de l'année 44, entre le Cato Major et le De Officiis.
Notre édition présente en un volume ce classique de l'ouvre cicéronienne. La riche introduction fait le point sur les problèmes de datations relatifs au texte et fournit tous les renseignements historiques nécessaires à la bonne intelligence de celui-ci. Les personnages, réels, sont brièvement décrits, tandis qu'un plan, permettant de circuler aisément dans le traité, est fourni. Les sources philosophiques de Cicéron, d'Héraclite à Théophraste, en passant par Aristote, sont analysées en détail et assorties d'une brève notice bibliographique.
L'histoire des manuscrits est relatée avec précision. Des notes accompagnent la lecture sont développées, en fin d'ouvrage, par des notes complémentaires. L'ouvrage est en outre enrichi d'un Index Nominum.
Cicéron (106-43 av. J.-C.) a composé ce traité, que l'on peut considérer comme son testament philosophique, au moment où il entreprenait son dernier combat pour la République romaine contre les ambitions tyranniques de Marc Antoine, qui recueillait alors l'héritage de César, assassiné quelques mois plus tôt. Le traité Des devoirs est ainsi la dernière oeuvre philosophique de Cicéron, et son ultime publication en dehors des discours Philippiques dirigés contre l'ancien lieutenant de César. Très rapidement, le traité Des devoirs s'est imposé comme un classique pour les païens (Pline l'Ancien) comme pour les chrétiens (Ambroise de Milan) ; son succès s'est poursuivi durant le Moyen-Âge (Moralium dogma philosophorum), à la Renaissance (Erasme) et jusqu'à l'époque moderne, quand Montesquieu, au XVIIIe siècle, abandonnait l'idée de composer à son tour un traité capable de rivaliser avec celui de Cicéron, et que le roi de Prusse, Frédéric II, l'ami des philosophes, ne croyait pas non plus qu'on pût jamais rien composer de meilleur en morale.
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