La destruction de la raison. De l'après-Nietzsche à Heidegger et Hitler
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- Nombre de pages465
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.58 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 3,5 cm
- ISBN978-2-37607-117-4
- EAN9782376071174
- Date de parution01/05/2017
- CollectionPhilosophie
- ÉditeurDelga
- TraducteurDidier Renault
- PréfacierDomenico Losurdo
Résumé
Troisième et dernier volet d'une série intitulée La Destruction de la raison. Le chemin de l'irrationalisme de Schelling à Hitler, cette fresque qui décrit les attaques contre le rationalisme et explique les conditions de l'arrivée du fascisme en Allemagne, parue en 1954 mais écrite principalement pendant la guerre, est le grand livre de combat de Lukács. Dans ce présent volume, l'auteur s'attaque à la période marquée par l'immédiate influence de Nietzsche, jusqu'à Heidegger.
En ligne de mire : la philosophie vitaliste, qui consiste à métamorphoser l'agnosticisme en une mystique et l'idéalisme subjectif dans la pseudo-objectivité du mythe ; la "mise entre parenthèses" phénoménologique, qui n'est qu'un arbitraire idéaliste subjectif s'affublant d'un pseudonyme visant à l'instituer en méthode objective ; Heidegger, lequel offre un tableau authentique des réflexes intellectuels que déclenche la réalité du capitalisme impérialiste de l'entre-deux-guerres chez ceux qui ne sont ni capables ni désireux de dépasser les expériences immédiates de leur propre existence dans le sens de l'objectivité, c'est-à-dire dans le sens d'une exploration de leurs causes socio-historiques.
Tous ces courants, et d'autres encore (Georg Simmel, Carl Schmitt, Ernst Jünger etc.), marquent des étapes différentes de l'irrationalisme allemand sur la voie qui a mené l'Allemagne à un désarmement intellectuel et moral face aux hordes hitlériennes. avec une préface de Domenico Losurdo
En ligne de mire : la philosophie vitaliste, qui consiste à métamorphoser l'agnosticisme en une mystique et l'idéalisme subjectif dans la pseudo-objectivité du mythe ; la "mise entre parenthèses" phénoménologique, qui n'est qu'un arbitraire idéaliste subjectif s'affublant d'un pseudonyme visant à l'instituer en méthode objective ; Heidegger, lequel offre un tableau authentique des réflexes intellectuels que déclenche la réalité du capitalisme impérialiste de l'entre-deux-guerres chez ceux qui ne sont ni capables ni désireux de dépasser les expériences immédiates de leur propre existence dans le sens de l'objectivité, c'est-à-dire dans le sens d'une exploration de leurs causes socio-historiques.
Tous ces courants, et d'autres encore (Georg Simmel, Carl Schmitt, Ernst Jünger etc.), marquent des étapes différentes de l'irrationalisme allemand sur la voie qui a mené l'Allemagne à un désarmement intellectuel et moral face aux hordes hitlériennes. avec une préface de Domenico Losurdo
Troisième et dernier volet d'une série intitulée La Destruction de la raison. Le chemin de l'irrationalisme de Schelling à Hitler, cette fresque qui décrit les attaques contre le rationalisme et explique les conditions de l'arrivée du fascisme en Allemagne, parue en 1954 mais écrite principalement pendant la guerre, est le grand livre de combat de Lukács. Dans ce présent volume, l'auteur s'attaque à la période marquée par l'immédiate influence de Nietzsche, jusqu'à Heidegger.
En ligne de mire : la philosophie vitaliste, qui consiste à métamorphoser l'agnosticisme en une mystique et l'idéalisme subjectif dans la pseudo-objectivité du mythe ; la "mise entre parenthèses" phénoménologique, qui n'est qu'un arbitraire idéaliste subjectif s'affublant d'un pseudonyme visant à l'instituer en méthode objective ; Heidegger, lequel offre un tableau authentique des réflexes intellectuels que déclenche la réalité du capitalisme impérialiste de l'entre-deux-guerres chez ceux qui ne sont ni capables ni désireux de dépasser les expériences immédiates de leur propre existence dans le sens de l'objectivité, c'est-à-dire dans le sens d'une exploration de leurs causes socio-historiques.
Tous ces courants, et d'autres encore (Georg Simmel, Carl Schmitt, Ernst Jünger etc.), marquent des étapes différentes de l'irrationalisme allemand sur la voie qui a mené l'Allemagne à un désarmement intellectuel et moral face aux hordes hitlériennes. avec une préface de Domenico Losurdo
En ligne de mire : la philosophie vitaliste, qui consiste à métamorphoser l'agnosticisme en une mystique et l'idéalisme subjectif dans la pseudo-objectivité du mythe ; la "mise entre parenthèses" phénoménologique, qui n'est qu'un arbitraire idéaliste subjectif s'affublant d'un pseudonyme visant à l'instituer en méthode objective ; Heidegger, lequel offre un tableau authentique des réflexes intellectuels que déclenche la réalité du capitalisme impérialiste de l'entre-deux-guerres chez ceux qui ne sont ni capables ni désireux de dépasser les expériences immédiates de leur propre existence dans le sens de l'objectivité, c'est-à-dire dans le sens d'une exploration de leurs causes socio-historiques.
Tous ces courants, et d'autres encore (Georg Simmel, Carl Schmitt, Ernst Jünger etc.), marquent des étapes différentes de l'irrationalisme allemand sur la voie qui a mené l'Allemagne à un désarmement intellectuel et moral face aux hordes hitlériennes. avec une préface de Domenico Losurdo