Le délire raciste, ennemi du progrès humain
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- Nombre de pages112
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.094 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 0,7 cm
- ISBN979-10-97331-12-2
- EAN9791097331122
- Date de parution23/02/2019
- ÉditeurCritiques Editions
- TraducteurJean-Pierre Morbois
Résumé
Ecrits à la fin de la Seconde guerre mondiale et au tout début de la Guerre froide, ces articles exposent les réflexions politiques et historiques de Lukács face à la découverte des camps d'extermination. On y lira aussi ses premières prises de positions alors que le monde se recomposent autour de deux blocs antagonistes. Face à l'horreur du nazisme, l'auteur analyse les cheminements politiques et intellectuels par lesquels le racisme, l'irrationalisme et l'antihumanisme ont pu s'élever au rang de vision du monde, et la manière dont les élites culturelles d'Allemagne et d'Europe, à quelques exceptions près, se sont retrouvées démuni face à cette barbarie.
Lukács questionne également la place et la signification du nazisme à l'échelle de l'histoire universelle. A l'aube de la Guerre froide, tirant les leçons de cette tragédie, il demeure plus que jamais conscient que la fin du conflit mondial ne signifie pas la fin du fascisme.
Lukács questionne également la place et la signification du nazisme à l'échelle de l'histoire universelle. A l'aube de la Guerre froide, tirant les leçons de cette tragédie, il demeure plus que jamais conscient que la fin du conflit mondial ne signifie pas la fin du fascisme.
Ecrits à la fin de la Seconde guerre mondiale et au tout début de la Guerre froide, ces articles exposent les réflexions politiques et historiques de Lukács face à la découverte des camps d'extermination. On y lira aussi ses premières prises de positions alors que le monde se recomposent autour de deux blocs antagonistes. Face à l'horreur du nazisme, l'auteur analyse les cheminements politiques et intellectuels par lesquels le racisme, l'irrationalisme et l'antihumanisme ont pu s'élever au rang de vision du monde, et la manière dont les élites culturelles d'Allemagne et d'Europe, à quelques exceptions près, se sont retrouvées démuni face à cette barbarie.
Lukács questionne également la place et la signification du nazisme à l'échelle de l'histoire universelle. A l'aube de la Guerre froide, tirant les leçons de cette tragédie, il demeure plus que jamais conscient que la fin du conflit mondial ne signifie pas la fin du fascisme.
Lukács questionne également la place et la signification du nazisme à l'échelle de l'histoire universelle. A l'aube de la Guerre froide, tirant les leçons de cette tragédie, il demeure plus que jamais conscient que la fin du conflit mondial ne signifie pas la fin du fascisme.