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  • Nombre de pages261
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.144 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-253-17540-7
  • EAN9782253175407
  • Date de parution20/08/2014
  • CollectionLe Livre de Poche
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche

Résumé

Paris, années 1960. Deux frères, Alexandre et Yann, aiment la même femme, Maria, rencontrée par hasard alors qu'ils sont tous les trois étudiants. Pendant plus de quarante ans, elle va être le pivot de leur vie et la spectatrice intime de ce triangle amoureux dans la capitale française, noyau politique, littéraire et artistique d'un pays en mutation. Alexandre, l'aîné, deviendra professeur de lettres, Yann, avocat, et Maria écrira des biographies.
Bientôt, le mouvement pacifiste et hippie fera place aux paillettes du premier néolibéralisme puis aux différentes crises économiques, Truffaut tournera Jules et Jim, Lacan endoctrinera des cohortes de jeunes psychanalystes, Jankélévitch et Levinas croiseront Derrida, Deleuze, et même Lagarde et Michard. L'homme qui aimait ma femme est l'histoire belle mais terrible de ces quarante années d'amour - et de trahison.
Sur un air de Jules et Jim, une brillante géographie des sentiments.
Paris, années 1960. Deux frères, Alexandre et Yann, aiment la même femme, Maria, rencontrée par hasard alors qu'ils sont tous les trois étudiants. Pendant plus de quarante ans, elle va être le pivot de leur vie et la spectatrice intime de ce triangle amoureux dans la capitale française, noyau politique, littéraire et artistique d'un pays en mutation. Alexandre, l'aîné, deviendra professeur de lettres, Yann, avocat, et Maria écrira des biographies.
Bientôt, le mouvement pacifiste et hippie fera place aux paillettes du premier néolibéralisme puis aux différentes crises économiques, Truffaut tournera Jules et Jim, Lacan endoctrinera des cohortes de jeunes psychanalystes, Jankélévitch et Levinas croiseront Derrida, Deleuze, et même Lagarde et Michard. L'homme qui aimait ma femme est l'histoire belle mais terrible de ces quarante années d'amour - et de trahison.
Sur un air de Jules et Jim, une brillante géographie des sentiments.

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1 Coup de cœur
de nos libraires
Marion LiévalDecitre Grenoble
4/5
Un (bon) Jules et Jim
J'avoue, je suis restée sceptique en lisant les premières pages, et j'ai failli abandonner. Début des années 60, deux frères - forcément grands, minces, ténébreux, séducteurs et portant barbe de trois jours - tombent amoureux de la même femme - qui elle, bien évidemment, est un croisement entre Jeanne Moreau et Brigitte Bardot ! Convenu, vous avez dit convenu ? Cela dit, j'aurais eu tort de ne pas m'accrocher, puisque le roman s'enrichit peu à peu d'une réflexion plus profonde sur l'amour, et se nourrit également du contexte culturel de l'époque. L'un des frères est étudiant à la Sorbonne, l'autre à l'Ecole Normale Supérieure, et l'on croise ainsi les figures de Levinas, Althusser, etc., mais aussi de philosophes et de penseurs plus anciens. Une bonne introduction donc à la pensée de certains auteurs, mais rassurez-vous, rien de didactique là-dedans ! Finalement un très bon roman, plus profond qu'il n'y paraît de prime abord, et imprégné d"une mélancolie qui a su me toucher.
J'avoue, je suis restée sceptique en lisant les premières pages, et j'ai failli abandonner. Début des années 60, deux frères - forcément grands, minces, ténébreux, séducteurs et portant barbe de trois jours - tombent amoureux de la même femme - qui elle, bien évidemment, est un croisement entre Jeanne Moreau et Brigitte Bardot ! Convenu, vous avez dit convenu ? Cela dit, j'aurais eu tort de ne pas m'accrocher, puisque le roman s'enrichit peu à peu d'une réflexion plus profonde sur l'amour, et se nourrit également du contexte culturel de l'époque. L'un des frères est étudiant à la Sorbonne, l'autre à l'Ecole Normale Supérieure, et l'on croise ainsi les figures de Levinas, Althusser, etc., mais aussi de philosophes et de penseurs plus anciens. Une bonne introduction donc à la pensée de certains auteurs, mais rassurez-vous, rien de didactique là-dedans ! Finalement un très bon roman, plus profond qu'il n'y paraît de prime abord, et imprégné d"une mélancolie qui a su me toucher.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.4/5
sur 8 notes dont 3 avis lecteurs
Décue
Quand j'ai entendu S. G. parler de son livre avec de joyeux éclats de rires à la Grande Librairie, ça m'a donné envie. D'autant plus que j'avais aimé son livre précédent "Dolce Vita". J'ai couru à la bibliothèque emprunter cet homme qui aimait la femme d'un autre et je l'ai emporté en vacances de Noël (le livre pas l'homme). Finalement, je me dis que j'aurais dû choisir autre chose que cette histoire d'amour écrite de bric et de broc, entrecoupée de chapitres sans queue ni tête sur la sexualité de Tennessee Williams, les aventures d'Althuser, des considérations sur Lacan… Bien sûr tout est dans tout, et il suffit d'émailler cette histoire compliquée d'amour contrarié d'une citation ici et là pour réussir à faire chic, branché, un peu Rive Gauche, un peu révolté, un peu tout, un peu rien... Creux. Par pitié qu'on laisse Derrida et Deleuze en dehors de ces mièvreries. Quarante ans sont survolés en moins de trois cents pages (c'est encore beaucoup trop par rapport au contenu) car il n'y a aucune analyse, quelques faits, (bon d'accord c'est un roman pas un essai) et parfois des envolées "lyriques" - je cite- L'automne 1974 à été doux, bleu et roux et le ciel d'un bleu profond... Le pire étant les interrogations philosophico-existentielles du style (je cite de mémoire) "Est-ce qu'on trompe l'autre quand on se masturbe". Hélas, il n'y a pas de réponse. On n'arrive pas à aimer ou à détester ces Abel et Caïn post modernes, ils m'ont laissée indifférente avec leurs malheurs de nantis qui se regardent le nombril et le font reluire. Bon, vous avez compris que je n'ai pas aimé. Je ne recommande pas de lire ce livre, lisez plutôt le précédent si vous ne l'aviez pas lu à sa sortie, ou l'excellent livre de Joncour "L'amour sans le faire" dont je parlerai bientôt.
Quand j'ai entendu S. G. parler de son livre avec de joyeux éclats de rires à la Grande Librairie, ça m'a donné envie. D'autant plus que j'avais aimé son livre précédent "Dolce Vita". J'ai couru à la bibliothèque emprunter cet homme qui aimait la femme d'un autre et je l'ai emporté en vacances de Noël (le livre pas l'homme). Finalement, je me dis que j'aurais dû choisir autre chose que cette histoire d'amour écrite de bric et de broc, entrecoupée de chapitres sans queue ni tête sur la sexualité de Tennessee Williams, les aventures d'Althuser, des considérations sur Lacan… Bien sûr tout est dans tout, et il suffit d'émailler cette histoire compliquée d'amour contrarié d'une citation ici et là pour réussir à faire chic, branché, un peu Rive Gauche, un peu révolté, un peu tout, un peu rien... Creux. Par pitié qu'on laisse Derrida et Deleuze en dehors de ces mièvreries. Quarante ans sont survolés en moins de trois cents pages (c'est encore beaucoup trop par rapport au contenu) car il n'y a aucune analyse, quelques faits, (bon d'accord c'est un roman pas un essai) et parfois des envolées "lyriques" - je cite- L'automne 1974 à été doux, bleu et roux et le ciel d'un bleu profond... Le pire étant les interrogations philosophico-existentielles du style (je cite de mémoire) "Est-ce qu'on trompe l'autre quand on se masturbe". Hélas, il n'y a pas de réponse. On n'arrive pas à aimer ou à détester ces Abel et Caïn post modernes, ils m'ont laissée indifférente avec leurs malheurs de nantis qui se regardent le nombril et le font reluire. Bon, vous avez compris que je n'ai pas aimé. Je ne recommande pas de lire ce livre, lisez plutôt le précédent si vous ne l'aviez pas lu à sa sortie, ou l'excellent livre de Joncour "L'amour sans le faire" dont je parlerai bientôt.
  • XXe siècle
  • Ennuyant
Soleil
Surnom que je donne à Simonetta qui est une femme lumineuse. Un beau Simonetta Greggio qui s'affirme au fur et à mesure de ses livres. Plongée sur la, les relations amoureuses, la passion, la trahison, la déchirure. Qu'est ce qu'aimer ? A partir de quand n'est-on plus fidèle ? : des sujets abordés tout au long de ce livre tout en balayant les instants importants de l'histoire de France, mai 68, néolibéralisme des années 1980, l'entrée dans le XXIème sicèle...De beaux personnages, un superbe trio. Merci Simonetta
Surnom que je donne à Simonetta qui est une femme lumineuse. Un beau Simonetta Greggio qui s'affirme au fur et à mesure de ses livres. Plongée sur la, les relations amoureuses, la passion, la trahison, la déchirure. Qu'est ce qu'aimer ? A partir de quand n'est-on plus fidèle ? : des sujets abordés tout au long de ce livre tout en balayant les instants importants de l'histoire de France, mai 68, néolibéralisme des années 1980, l'entrée dans le XXIème sicèle...De beaux personnages, un superbe trio. Merci Simonetta
  • Paris
  • Maria
  • Alexandre
  • Yann
La passion d'un homme
Alexandre et Yann sont frères. Dans un Paris en pleine révolution des mœurs, le second tombe amoureux de Maria. Mais c’est le premier qu’elle choisira puis qu’elle épousera. Et pourtant... Pendant quarante ans, les trois vont s’aimer, se fuir ou se haïr pour s’aimer à nouveau, se fuir... De son italien natal, Simonetta Greggio a su garder la musicalité, et fait de ce Jules et Jim des temps modernes, où l’histoire des idées tient autant de place que celle des personnages, un roman bouleversant.
Alexandre et Yann sont frères. Dans un Paris en pleine révolution des mœurs, le second tombe amoureux de Maria. Mais c’est le premier qu’elle choisira puis qu’elle épousera. Et pourtant... Pendant quarante ans, les trois vont s’aimer, se fuir ou se haïr pour s’aimer à nouveau, se fuir... De son italien natal, Simonetta Greggio a su garder la musicalité, et fait de ce Jules et Jim des temps modernes, où l’histoire des idées tient autant de place que celle des personnages, un roman bouleversant.
  • Bouleversant
Bellissima
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