Les derniers avis

L'amour sans le faire
Avis posté le 2013-02-18
- Emouvant
- Eblouissant
- Merveilleux
sous le charme
Le plus beau livre que j'ai lu sur 2012. je suis sous le charme de l'écriture de Serge Joncour. C'est le premier livre lu de cet auteur. A mon avis, il ne sera pas le dernier.
Le plus beau livre que j'ai lu sur 2012. je suis sous le charme de l'écriture de Serge Joncour. C'est le premier livre lu de cet auteur. A mon avis, il ne sera pas le dernier.

L'homme qui aimait ma femme
Avis posté le 2012-09-02
- Paris
- Maria
- Alexandre
- Yann
Soleil
Surnom que je donne à Simonetta qui est une femme lumineuse. Un beau Simonetta Greggio qui s'affirme au fur et à mesure de ses livres. Plongée sur la, les relations amoureuses, la passion, la trahison, la déchirure. Qu'est ce qu'aimer ? A partir de quand n'est-on plus fidèle ? : des sujets abordés tout au long de ce livre tout en balayant les instants importants de l'histoire de France, mai 68, néolibéralisme des années 1980, l'entrée dans le XXIème sicèle...De beaux personnages, un superbe trio. Merci Simonetta
Surnom que je donne à Simonetta qui est une femme lumineuse. Un beau Simonetta Greggio qui s'affirme au fur et à mesure de ses livres. Plongée sur la, les relations amoureuses, la passion, la trahison, la déchirure. Qu'est ce qu'aimer ? A partir de quand n'est-on plus fidèle ? : des sujets abordés tout au long de ce livre tout en balayant les instants importants de l'histoire de France, mai 68, néolibéralisme des années 1980, l'entrée dans le XXIème sicèle...De beaux personnages, un superbe trio. Merci Simonetta

La Légende des fils
Avis posté le 2012-08-15
- Triste
- XXe siècle
- Arizona
- douceur
- Bouleversant
- pardon
- Scott
- Phoenix
- Jeffrey
- Meredith (Mam)
douceur
Douceur, c'est le premier mot qui me vient à la fin de la lecture de ce livre. Malgré la violence du père, de l'époque, la douceur de la mère est omniprésente, comme la douceur des phrases de Laurent Seksik, comme la douceur de Scott, cet enfant adolescent, grandit trop vitre, doux rêveur et qui apprend le pardon. Très beau
Douceur, c'est le premier mot qui me vient à la fin de la lecture de ce livre. Malgré la violence du père, de l'époque, la douceur de la mère est omniprésente, comme la douceur des phrases de Laurent Seksik, comme la douceur de Scott, cet enfant adolescent, grandit trop vitre, doux rêveur et qui apprend le pardon. Très beau