Philippe Dagen est historien de l'art contemporain, professeur à la Sorbonne (Paris I), critique d'art au Monde ; il a publié de nombreux ouvrages d'histoire de l'art comme Le Silence des peintres. Les artistes face à la Grande Guerre (Fayard, 1996), L'Art français, XXe siècle (Flammarion, 1998) et des essais sur la situation de l'art contemporain comme La Haine de l'art (Grasset, 1991) ou L'Art impossible. De l'inutilité de la création dans le monde contemporain (Grasset, 2002), et le catalogue de l'exposition De mémoires (Hazan, 2003).
L'Age d'Or
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- Nombre de pages420
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.409 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,5 cm
- ISBN2-07-072510-3
- EAN9782070725106
- Date de parution01/02/1992
- CollectionBlanche
- ÉditeurGallimard
Résumé
Il se nomme Antoine Terreau. Qui est Antoine Terreau ? C'est ce que lui-même voudrait ou, plus souvent, ne voudrait pas savoir. Dans les figures changeantes qu'il se donne, au fil de hasards qu'il entend contrôler, au gré d'aventures futiles qu'il veut symboliques, voit-on se faire et se défaire une nature ? Terreau se flatte d'aimer, de penser, d'écrire, de ne plus aimer, de ne plus penser, de ne plus écrire, alternativement.
Il se flatte même d'être, et d'abord le cerveau des Editions justement dites "de l'Etre" . Mais où se rejoindre quand l'époque vend ses classiques sous forme de téléfilms, quand les mythes sont surexploités, quand triomphent pitres et simulateurs de révolution ou d'ascèse ? Il faut donc partir, partir là-bas, dans un camp de nudistes, puis au coeur de l'Himalaya. Au fond de l'inconnu pour trouver...
du banal. Satire ? Sans doute. Conte philosophique ? Roman, à coup sûr. Et foisonnant. Terreau ne sait que fabriquer avec du roman sa vie, avec sa vie du roman. Jamais il ne cesse - mais cesse-t-on jamais ? - de se raconter des histoires.
Il se flatte même d'être, et d'abord le cerveau des Editions justement dites "de l'Etre" . Mais où se rejoindre quand l'époque vend ses classiques sous forme de téléfilms, quand les mythes sont surexploités, quand triomphent pitres et simulateurs de révolution ou d'ascèse ? Il faut donc partir, partir là-bas, dans un camp de nudistes, puis au coeur de l'Himalaya. Au fond de l'inconnu pour trouver...
du banal. Satire ? Sans doute. Conte philosophique ? Roman, à coup sûr. Et foisonnant. Terreau ne sait que fabriquer avec du roman sa vie, avec sa vie du roman. Jamais il ne cesse - mais cesse-t-on jamais ? - de se raconter des histoires.
Il se nomme Antoine Terreau. Qui est Antoine Terreau ? C'est ce que lui-même voudrait ou, plus souvent, ne voudrait pas savoir. Dans les figures changeantes qu'il se donne, au fil de hasards qu'il entend contrôler, au gré d'aventures futiles qu'il veut symboliques, voit-on se faire et se défaire une nature ? Terreau se flatte d'aimer, de penser, d'écrire, de ne plus aimer, de ne plus penser, de ne plus écrire, alternativement.
Il se flatte même d'être, et d'abord le cerveau des Editions justement dites "de l'Etre" . Mais où se rejoindre quand l'époque vend ses classiques sous forme de téléfilms, quand les mythes sont surexploités, quand triomphent pitres et simulateurs de révolution ou d'ascèse ? Il faut donc partir, partir là-bas, dans un camp de nudistes, puis au coeur de l'Himalaya. Au fond de l'inconnu pour trouver...
du banal. Satire ? Sans doute. Conte philosophique ? Roman, à coup sûr. Et foisonnant. Terreau ne sait que fabriquer avec du roman sa vie, avec sa vie du roman. Jamais il ne cesse - mais cesse-t-on jamais ? - de se raconter des histoires.
Il se flatte même d'être, et d'abord le cerveau des Editions justement dites "de l'Etre" . Mais où se rejoindre quand l'époque vend ses classiques sous forme de téléfilms, quand les mythes sont surexploités, quand triomphent pitres et simulateurs de révolution ou d'ascèse ? Il faut donc partir, partir là-bas, dans un camp de nudistes, puis au coeur de l'Himalaya. Au fond de l'inconnu pour trouver...
du banal. Satire ? Sans doute. Conte philosophique ? Roman, à coup sûr. Et foisonnant. Terreau ne sait que fabriquer avec du roman sa vie, avec sa vie du roman. Jamais il ne cesse - mais cesse-t-on jamais ? - de se raconter des histoires.