Philippe Dagen est historien de l'art contemporain, professeur à la Sorbonne (Paris I), critique d'art au Monde ; il a publié de nombreux ouvrages d'histoire de l'art comme Le Silence des peintres. Les artistes face à la Grande Guerre (Fayard, 1996), L'Art français, XXe siècle (Flammarion, 1998) et des essais sur la situation de l'art contemporain comme La Haine de l'art (Grasset, 1991) ou L'Art impossible. De l'inutilité de la création dans le monde contemporain (Grasset, 2002), et le catalogue de l'exposition De mémoires (Hazan, 2003).
La guerre
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- Nombre de pages280
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.257 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 0,0 cm
- ISBN2-246-53381-3
- EAN9782246533818
- Date de parution01/12/1996
- ÉditeurGrasset
Résumé
Sous-lieutenant au 329e régiment d'infanterie en 1940, Charles Bruguières déserte. Faux ancien combattant démobilisé, professeur de lettres à Montauban, esprit prudent, il se laisse mener par son dégoût de lui-même et du monde. Rien ne ressemblait alors plus à la France de 1941 que Montauban : population aussi neutre et indécise que la grande majorité des Français à cette époque, proviseur maréchaliste, collègues au lycée d'une lâcheté feutrée, fêtes patriotiques où l'on salue à l'antique la France nouvelle.
Charles Bruguières, mécontent de lui et des événements, hésite. Faut-il devenir un héros ? Faut-il glisser à la couardise générale ? Entre la révolte et la honte de dire toujours "oui", il balance. Sous la forme d'un journal intime, ce roman traite de la guerre : celle que nous faisons aux autres. Celle que nous menons contre nous-mêmes.
Charles Bruguières, mécontent de lui et des événements, hésite. Faut-il devenir un héros ? Faut-il glisser à la couardise générale ? Entre la révolte et la honte de dire toujours "oui", il balance. Sous la forme d'un journal intime, ce roman traite de la guerre : celle que nous faisons aux autres. Celle que nous menons contre nous-mêmes.
Sous-lieutenant au 329e régiment d'infanterie en 1940, Charles Bruguières déserte. Faux ancien combattant démobilisé, professeur de lettres à Montauban, esprit prudent, il se laisse mener par son dégoût de lui-même et du monde. Rien ne ressemblait alors plus à la France de 1941 que Montauban : population aussi neutre et indécise que la grande majorité des Français à cette époque, proviseur maréchaliste, collègues au lycée d'une lâcheté feutrée, fêtes patriotiques où l'on salue à l'antique la France nouvelle.
Charles Bruguières, mécontent de lui et des événements, hésite. Faut-il devenir un héros ? Faut-il glisser à la couardise générale ? Entre la révolte et la honte de dire toujours "oui", il balance. Sous la forme d'un journal intime, ce roman traite de la guerre : celle que nous faisons aux autres. Celle que nous menons contre nous-mêmes.
Charles Bruguières, mécontent de lui et des événements, hésite. Faut-il devenir un héros ? Faut-il glisser à la couardise générale ? Entre la révolte et la honte de dire toujours "oui", il balance. Sous la forme d'un journal intime, ce roman traite de la guerre : celle que nous faisons aux autres. Celle que nous menons contre nous-mêmes.