Journal d'un avocat de Paris. Tome 4, L'impôt sur le dixième (1733-1737)

Par : Edmond-Jean-François Barbier

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  • Nombre de pages264
  • PrésentationBroché
  • Poids0.33 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-84909-076-X
  • EAN9782849090763
  • Date de parution01/04/2004
  • CollectionSources histoire de France
  • ÉditeurPaléo

Résumé

" Ce qui est surprenant dans cette guerre, c'est qu'après vingt années de paix, le ministère soit obligé d'avoir recours aux ressources dont Louis XIV ne s'est servi qu'à la fin de plusieurs guerres successives. On a envoyé au Parlement plusieurs édits, entre autres un pour prendre le dixième de tous les biens. Le Parlement s'est assemblé pour examiner cette taxe, qui est apparemment à des conditions plus onéreuses que le dixième établi en 1710. On a nommé des commissaires, & il a été arrêté de faire des remontrances au Roi. M. le premier président voulait qu'on employât seulement le terme de représentations, qui est plus doux ; mais il a passé à faire des remontrances, lesquelles ont été portées aujourd'hui, 21 de ce mois, par des députés de la Cour à Versailles. En tout cas, le dixième sera toujours établi, car les remontrances ne tendent qu'à des modifications. "
" Ce qui est surprenant dans cette guerre, c'est qu'après vingt années de paix, le ministère soit obligé d'avoir recours aux ressources dont Louis XIV ne s'est servi qu'à la fin de plusieurs guerres successives. On a envoyé au Parlement plusieurs édits, entre autres un pour prendre le dixième de tous les biens. Le Parlement s'est assemblé pour examiner cette taxe, qui est apparemment à des conditions plus onéreuses que le dixième établi en 1710. On a nommé des commissaires, & il a été arrêté de faire des remontrances au Roi. M. le premier président voulait qu'on employât seulement le terme de représentations, qui est plus doux ; mais il a passé à faire des remontrances, lesquelles ont été portées aujourd'hui, 21 de ce mois, par des députés de la Cour à Versailles. En tout cas, le dixième sera toujours établi, car les remontrances ne tendent qu'à des modifications. "