Jacques Henric, entre image et texte
Par :Formats :
Disponible d'occasion :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- Poids0.255 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-9553035-0-4
- EAN9782955303504
- Date de parution08/10/2015
- ÉditeurTinbad
Résumé
Jacques Henric publie son premier livre, Archées, en 1969 dans la collection d'avant-garde littéraire fondée par Philippe Sollers, "Tel Quel", au Seuil. A la fois romancier, essayiste et critique, il a publié vingt-sept livres inclassables à ce jour. Il participe, avec sa femme Catherine Millet, à la fondation de la revue Artpress, dont il est le directeur littéraire depuis plus de quarante ans. Cet essai, qui est le premier à lui être consacré, interroge plus particulièrement l'un des grands thèmes de sa pensée : que peuvent les images ? Au début était-il le Verbe ou l'image ? Pourquoi tant d'iconoclasmes à travers les âges ? De quoi cela est-il le symptôme ? Doit-on adorer les images ou les haïr ? Personne, en France, n'a autant ni mieux creusé ces questions qu'on pourrait presque qualifier de théologiques.
Deux chapitres de son essai Le Roman et le sacré, "L'image entraîneuse" - "Le texte vaurien", commençaient de répondre à ces interrogations.
Deux chapitres de son essai Le Roman et le sacré, "L'image entraîneuse" - "Le texte vaurien", commençaient de répondre à ces interrogations.
Jacques Henric publie son premier livre, Archées, en 1969 dans la collection d'avant-garde littéraire fondée par Philippe Sollers, "Tel Quel", au Seuil. A la fois romancier, essayiste et critique, il a publié vingt-sept livres inclassables à ce jour. Il participe, avec sa femme Catherine Millet, à la fondation de la revue Artpress, dont il est le directeur littéraire depuis plus de quarante ans. Cet essai, qui est le premier à lui être consacré, interroge plus particulièrement l'un des grands thèmes de sa pensée : que peuvent les images ? Au début était-il le Verbe ou l'image ? Pourquoi tant d'iconoclasmes à travers les âges ? De quoi cela est-il le symptôme ? Doit-on adorer les images ou les haïr ? Personne, en France, n'a autant ni mieux creusé ces questions qu'on pourrait presque qualifier de théologiques.
Deux chapitres de son essai Le Roman et le sacré, "L'image entraîneuse" - "Le texte vaurien", commençaient de répondre à ces interrogations.
Deux chapitres de son essai Le Roman et le sacré, "L'image entraîneuse" - "Le texte vaurien", commençaient de répondre à ces interrogations.