Fondu au noir. Le film à l'heure de sa reproduction numérisée
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- Nombre de pages188
- PrésentationBroché
- Poids0.23 kg
- Dimensions14,0 cm × 18,0 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-912539-45-8
- EAN9782912539458
- Date de parution16/02/2013
- CollectionSine qua non
- ÉditeurParis expérimental
Résumé
L'auteur, lecteur assidu de textes théoriques et poétiques sur l'art et le cinéma, a été frappé par la perte soudaine de plasticité du médium cinématographique suite à la numérisation des films. Il s'est aperçu que les fameuses Histoire(s) du cinéma de Jean-Luc Godard, comme La Divine Comédie de Dante sept siècles auparavant, contenaient tout le savoir du temps présent, en particulier celui nécessaire pour penser ontologiquement et métaphysiquement la mutation, semble-t-il irréversible, des "spectacles d'ombres en mouvement" en "images mouvantes calculées en pixels".
Alors même que l'écrivain et théoricien de la crise des avant-gardes littéraires Philippe Sollers envisageait son Paradis comme un équivalent littéraire des Histoire(s), il a eu l'idée de faire dialoguer, littéralement et dans tous les sens, ces deux sommets de l'art du "montage". Enfin, l'auteur a essayé de "sauver", au sens benjaminien, tels de vieux chiffons, tout ce qui va disparaître avec la perte d'aura définitive de toute oeuvre cinématographique.
Alors même que l'écrivain et théoricien de la crise des avant-gardes littéraires Philippe Sollers envisageait son Paradis comme un équivalent littéraire des Histoire(s), il a eu l'idée de faire dialoguer, littéralement et dans tous les sens, ces deux sommets de l'art du "montage". Enfin, l'auteur a essayé de "sauver", au sens benjaminien, tels de vieux chiffons, tout ce qui va disparaître avec la perte d'aura définitive de toute oeuvre cinématographique.
L'auteur, lecteur assidu de textes théoriques et poétiques sur l'art et le cinéma, a été frappé par la perte soudaine de plasticité du médium cinématographique suite à la numérisation des films. Il s'est aperçu que les fameuses Histoire(s) du cinéma de Jean-Luc Godard, comme La Divine Comédie de Dante sept siècles auparavant, contenaient tout le savoir du temps présent, en particulier celui nécessaire pour penser ontologiquement et métaphysiquement la mutation, semble-t-il irréversible, des "spectacles d'ombres en mouvement" en "images mouvantes calculées en pixels".
Alors même que l'écrivain et théoricien de la crise des avant-gardes littéraires Philippe Sollers envisageait son Paradis comme un équivalent littéraire des Histoire(s), il a eu l'idée de faire dialoguer, littéralement et dans tous les sens, ces deux sommets de l'art du "montage". Enfin, l'auteur a essayé de "sauver", au sens benjaminien, tels de vieux chiffons, tout ce qui va disparaître avec la perte d'aura définitive de toute oeuvre cinématographique.
Alors même que l'écrivain et théoricien de la crise des avant-gardes littéraires Philippe Sollers envisageait son Paradis comme un équivalent littéraire des Histoire(s), il a eu l'idée de faire dialoguer, littéralement et dans tous les sens, ces deux sommets de l'art du "montage". Enfin, l'auteur a essayé de "sauver", au sens benjaminien, tels de vieux chiffons, tout ce qui va disparaître avec la perte d'aura définitive de toute oeuvre cinématographique.