Discours pour Sextus Roscius d'Amérie

Par : Cicéron

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  • Nombre de pages114
  • PrésentationRelié
  • Poids0.102 kg
  • Dimensions9,5 cm × 20,0 cm × 7,0 cm
  • ISBN978-2-84909-615-4
  • EAN9782849096154
  • Date de parution01/04/2011
  • CollectionHistoire-Accès direct
  • ÉditeurPaléo
  • TraducteurCharles-François Du Rozoir

Résumé

Le plaidoyer pour Sextus est le premier discours de Cicéron. Jeune avocat, encore peu connu, il fut choisi pour cette raison même. Les esprits étaient alors encore sous la crainte des récentes proscriptions de Sylla, et les ténors du barreau s'étaient prudemment désistés. Par son audace et son courage à défendre Sextus, contre certains protégés des puissants du jour, Cicéron s'acquit alors un nom.
Le plaidoyer pour Sextus est le premier discours de Cicéron. Jeune avocat, encore peu connu, il fut choisi pour cette raison même. Les esprits étaient alors encore sous la crainte des récentes proscriptions de Sylla, et les ténors du barreau s'étaient prudemment désistés. Par son audace et son courage à défendre Sextus, contre certains protégés des puissants du jour, Cicéron s'acquit alors un nom.
Cicéron (106-43 av. J.-C.) a composé ce traité, que l'on peut considérer comme son testament philosophique, au moment où il entreprenait son dernier combat pour la République romaine contre les ambitions tyranniques de Marc Antoine, qui recueillait alors l'héritage de César, assassiné quelques mois plus tôt. Le traité Des devoirs est ainsi la dernière oeuvre philosophique de Cicéron, et son ultime publication en dehors des discours Philippiques dirigés contre l'ancien lieutenant de César. Très rapidement, le traité Des devoirs s'est imposé comme un classique pour les païens (Pline l'Ancien) comme pour les chrétiens (Ambroise de Milan) ; son succès s'est poursuivi durant le Moyen-Âge (Moralium dogma philosophorum), à la Renaissance (Erasme) et jusqu'à l'époque moderne, quand Montesquieu, au XVIIIe siècle, abandonnait l'idée de composer à son tour un traité capable de rivaliser avec celui de Cicéron, et que le roi de Prusse, Frédéric II, l'ami des philosophes, ne croyait pas non plus qu'on pût jamais rien composer de meilleur en morale.
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