Amoureux de l'aventure maritime et des rencontres lointaines, Olivier Roellinger a toujours eu besoin de livres pour imaginer ses recettes. De l'Histoire philosophique et politique des établissements et du commerce des Européens dans les deux Indes publiée en 1770 par l'abbé Raynal, il a retenu les passages consacrés aux épices. Ce que cette encyclopédie du commerce colonial au XVIIIe siècle dit du cacao, du camphre, du café, de la cannelle, du coco, du gingembre, du ginseng, du girofle, du musc, de la muscade, de l'opium, du poivre, du quinquina, du rocou, du sucre, du thé et de la vanille lui a fourni chaque fois l'occasion d'un commentaire et d'une recette. C'est ainsi qu'un "voyage philosophique" du siècle des Lumières a inspiré l'un des plus grands cuisiniers d'aujourd'hui.
Amoureux de l'aventure maritime et des rencontres lointaines, Olivier Roellinger a toujours eu besoin de livres pour imaginer ses recettes. De l'Histoire philosophique et politique des établissements et du commerce des Européens dans les deux Indes publiée en 1770 par l'abbé Raynal, il a retenu les passages consacrés aux épices. Ce que cette encyclopédie du commerce colonial au XVIIIe siècle dit du cacao, du camphre, du café, de la cannelle, du coco, du gingembre, du ginseng, du girofle, du musc, de la muscade, de l'opium, du poivre, du quinquina, du rocou, du sucre, du thé et de la vanille lui a fourni chaque fois l'occasion d'un commentaire et d'une recette. C'est ainsi qu'un "voyage philosophique" du siècle des Lumières a inspiré l'un des plus grands cuisiniers d'aujourd'hui.