Prix Nobel de Littérature
D'un mot à l'autre
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- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- Poids0.272 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,7 cm
- ISBN2-07-020463-4
- EAN9782070204632
- Date de parution14/11/1980
- CollectionDu monde entier
- ÉditeurGallimard
Résumé
Rêvons-nous le temps ? Le temps nous rêve-t-il, sommes-nous son rêve ? Ces deux questions du grand poète mexicain constituent peut-être le feu central, l'indice de la transparence - et du secret - de l'ensemble de son oeuvre. Temps : gerbe d'eau et jet de glaives, pyramide sanglante et rivières du corps, pierre brûlante et flamme gelée, soleil pris dans la glace. Tous les jeux de l'espace et l'espace du jeu.
Un art du saut périlleux : entre le chiffre et la lettre, entre la fusion et l'éclatement, entre miroir et grimoire. Autant de passerelles que, d'un mot à l'autre, Octavio Paz ne cesse de jeter, d'incendier et de jeter encore entre le silence du monde et la fureur du poème.
Un art du saut périlleux : entre le chiffre et la lettre, entre la fusion et l'éclatement, entre miroir et grimoire. Autant de passerelles que, d'un mot à l'autre, Octavio Paz ne cesse de jeter, d'incendier et de jeter encore entre le silence du monde et la fureur du poème.
Rêvons-nous le temps ? Le temps nous rêve-t-il, sommes-nous son rêve ? Ces deux questions du grand poète mexicain constituent peut-être le feu central, l'indice de la transparence - et du secret - de l'ensemble de son oeuvre. Temps : gerbe d'eau et jet de glaives, pyramide sanglante et rivières du corps, pierre brûlante et flamme gelée, soleil pris dans la glace. Tous les jeux de l'espace et l'espace du jeu.
Un art du saut périlleux : entre le chiffre et la lettre, entre la fusion et l'éclatement, entre miroir et grimoire. Autant de passerelles que, d'un mot à l'autre, Octavio Paz ne cesse de jeter, d'incendier et de jeter encore entre le silence du monde et la fureur du poème.
Un art du saut périlleux : entre le chiffre et la lettre, entre la fusion et l'éclatement, entre miroir et grimoire. Autant de passerelles que, d'un mot à l'autre, Octavio Paz ne cesse de jeter, d'incendier et de jeter encore entre le silence du monde et la fureur du poème.