Discours pour Roscius d'Amérie. Discours contre Cécilius

Par : Cicéron
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  • Nombre de pages452
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.901 kg
  • ISBN978-2-406-19219-0
  • EAN9782406192190
  • Date de parution20/11/2025
  • CollectionClassiques latins
  • ÉditeurClassiques Garnier
  • TraducteurJean-Pierre Charpentier
  • TraducteurCharles Durozoir
  • TraducteurOctave Gréard
  • TraducteurPierre-Claude-Bernard Guéroult

Résumé

Les discours réunis dans ce volume sont les premiers grands faits d'armes de Cicéron, dont l'éloquence énergique et sincère marqua l'histoire politique et littéraire de Rome. Le jeune avocat, un homo novus encore étranger à la noblesse sénatoriale, veut incarner la voix du droit et de la justice. Edition bilingue latin-français
Les discours réunis dans ce volume sont les premiers grands faits d'armes de Cicéron, dont l'éloquence énergique et sincère marqua l'histoire politique et littéraire de Rome. Le jeune avocat, un homo novus encore étranger à la noblesse sénatoriale, veut incarner la voix du droit et de la justice. Edition bilingue latin-français
Cicéron (106-43 av. J.-C.) a composé ce traité, que l'on peut considérer comme son testament philosophique, au moment où il entreprenait son dernier combat pour la République romaine contre les ambitions tyranniques de Marc Antoine, qui recueillait alors l'héritage de César, assassiné quelques mois plus tôt. Le traité Des devoirs est ainsi la dernière oeuvre philosophique de Cicéron, et son ultime publication en dehors des discours Philippiques dirigés contre l'ancien lieutenant de César. Très rapidement, le traité Des devoirs s'est imposé comme un classique pour les païens (Pline l'Ancien) comme pour les chrétiens (Ambroise de Milan) ; son succès s'est poursuivi durant le Moyen-Âge (Moralium dogma philosophorum), à la Renaissance (Erasme) et jusqu'à l'époque moderne, quand Montesquieu, au XVIIIe siècle, abandonnait l'idée de composer à son tour un traité capable de rivaliser avec celui de Cicéron, et que le roi de Prusse, Frédéric II, l'ami des philosophes, ne croyait pas non plus qu'on pût jamais rien composer de meilleur en morale.
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