Xavier Bichat. La révolution en médecine

Par : Paul Mazliak

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  • Nombre de pages154
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-14-030487-3
  • EAN9782140304873
  • Date de parution09/01/2023
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille5 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

De la Grèce antique au xviie siècle, les médecins s'efforçaient avant tout de bien nommer les maladies. Tout change au xviiie siècle. En 1801, Xavier Bichat (1771-1802), médecin à l'Hôtel-Dieu de Paris, peut écrire de façon révolutionnaire : « On cherche dans des considérations abstraites la définition de la vie ; on la trouvera, je crois, dans cet aperçu général : la vie est l'ensemble des fonctions qui résistent à la mort.
» Dès lors, une nouvelle médecine est née, beaucoup plus attachée à la biologie de l'être humain. Dans ses Recherches physiologiques sur la vie et la mort, Xavier Bichat sépare clairement les fonctions physiologiques liées à la « vie animale » (sensibilité, irritabilité, locomotion, voix) des fonctions physiologiques liées à la « vie organique » (nutrition, respiration, circulation du sang, reproduction).
Dans son Anatomie générale appliquée à la physiologie et à la médecine, il crée l'histologie et montre que c'est le tissu d'un organe qui est malade plutôt que l'organe entier.
De la Grèce antique au xviie siècle, les médecins s'efforçaient avant tout de bien nommer les maladies. Tout change au xviiie siècle. En 1801, Xavier Bichat (1771-1802), médecin à l'Hôtel-Dieu de Paris, peut écrire de façon révolutionnaire : « On cherche dans des considérations abstraites la définition de la vie ; on la trouvera, je crois, dans cet aperçu général : la vie est l'ensemble des fonctions qui résistent à la mort.
» Dès lors, une nouvelle médecine est née, beaucoup plus attachée à la biologie de l'être humain. Dans ses Recherches physiologiques sur la vie et la mort, Xavier Bichat sépare clairement les fonctions physiologiques liées à la « vie animale » (sensibilité, irritabilité, locomotion, voix) des fonctions physiologiques liées à la « vie organique » (nutrition, respiration, circulation du sang, reproduction).
Dans son Anatomie générale appliquée à la physiologie et à la médecine, il crée l'histologie et montre que c'est le tissu d'un organe qui est malade plutôt que l'organe entier.