Jean Fernel, premier physiologiste de la Renaissance

Par : Paul Mazliak

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  • Nombre de pages161
  • PrésentationBroché
  • Poids0.26 kg
  • Dimensions15,1 cm × 23,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-7056-9184-4
  • EAN9782705691844
  • Date de parution17/02/2016
  • CollectionHistoire des sciences
  • ÉditeurHermann

Résumé

Jean Fernel (1497-1558) fut, à la Renaissance, un médecin français très célèbre. Son oeuvre majeure, Universa medicina (Toute la médecine), datant de 1554, fut rééditée plusieurs dizaines de fois au cours des XVIe et XVIIe siècles. La première partie de cette oeuvre magistrale comprend Les sept Livres de la Physiologie. Ce traité rationaliste de physiologie humaine, écartant toute considération astrologique ou magique, est analysé scrupuleusement dans le présent ouvrage.
Pour Fernel, le foie produit le sang veineux nourricier et " l'esprit naturel " support de la chaleur du corps ; le coeur produit " l'esprit vital " distribué avec le sang artériel ; le cerveau enfin produit " l'esprit animal ", réparti par les nerfs, et donnant à l'organisme la sensation et le mouvement. Minée par une trop grande fidélité aux conceptions de Galien, la physiologie de Fernel constitue néanmoins le socle incertain sur lequel s'est édifiée toute la physiologie moderne.
Jean Fernel (1497-1558) fut, à la Renaissance, un médecin français très célèbre. Son oeuvre majeure, Universa medicina (Toute la médecine), datant de 1554, fut rééditée plusieurs dizaines de fois au cours des XVIe et XVIIe siècles. La première partie de cette oeuvre magistrale comprend Les sept Livres de la Physiologie. Ce traité rationaliste de physiologie humaine, écartant toute considération astrologique ou magique, est analysé scrupuleusement dans le présent ouvrage.
Pour Fernel, le foie produit le sang veineux nourricier et " l'esprit naturel " support de la chaleur du corps ; le coeur produit " l'esprit vital " distribué avec le sang artériel ; le cerveau enfin produit " l'esprit animal ", réparti par les nerfs, et donnant à l'organisme la sensation et le mouvement. Minée par une trop grande fidélité aux conceptions de Galien, la physiologie de Fernel constitue néanmoins le socle incertain sur lequel s'est édifiée toute la physiologie moderne.