Victoria. Le pouvoir partagé
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages506
- FormatPDF
- ISBN2-403-04418-0
- EAN9782403044188
- Date de parution01/01/1989
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille176 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurFlammarion (réédition numérique ...
Résumé
Monica Charlot, OBE, professeur à l 'université de Paris III, actuellement directeur de la Maison française d'Oxford, est un spécialiste d'histoire économique et sociale du Royaume-Uni. Elle a publié de nombreux ouvrages parmi lesquels : La Société victorienne (Armand Colin), L'Angleterre (1945 - 1980) - le temps des incertitudes (Imprimerie nationale) et Le Pouvoir en Grande-Bretagne (P. U. F.)
Où il apparaît que la reine Victoria, loin d'être "victorienne", était une femme de caractère, mais ouverte et tolérante, passionnée, qui aimait la vie et son rôle de reine.
Albert, l'homme de sa vie, fut plus victorien qu'elle. Il réussit, jusqu'à un certain point, à la convertir aux valeurs d'une société sûre d'elle et triomphante, mais fort misogyne, qu'elle incarna finalement. Monica Charlot peint un portrait attachant de la reine dans la première moitié de sa vie, jusqu'à la mort du prince consort. Ses sources sont souvent inédites : le journal intime de Victoria, ses très nombreuses lettres et autres documents des Archives royales de Windsor auxquelles l'auteur a eu le privilège d'accéder, mais aussi les témoignages, écrits et pamphlets de l'époque.
De quoi faire revivre, par la vivacité du style et la chaleur du regard, Victoria en son siècle.
Albert, l'homme de sa vie, fut plus victorien qu'elle. Il réussit, jusqu'à un certain point, à la convertir aux valeurs d'une société sûre d'elle et triomphante, mais fort misogyne, qu'elle incarna finalement. Monica Charlot peint un portrait attachant de la reine dans la première moitié de sa vie, jusqu'à la mort du prince consort. Ses sources sont souvent inédites : le journal intime de Victoria, ses très nombreuses lettres et autres documents des Archives royales de Windsor auxquelles l'auteur a eu le privilège d'accéder, mais aussi les témoignages, écrits et pamphlets de l'époque.
De quoi faire revivre, par la vivacité du style et la chaleur du regard, Victoria en son siècle.
Monica Charlot, OBE, professeur à l 'université de Paris III, actuellement directeur de la Maison française d'Oxford, est un spécialiste d'histoire économique et sociale du Royaume-Uni. Elle a publié de nombreux ouvrages parmi lesquels : La Société victorienne (Armand Colin), L'Angleterre (1945 - 1980) - le temps des incertitudes (Imprimerie nationale) et Le Pouvoir en Grande-Bretagne (P. U. F.)
Où il apparaît que la reine Victoria, loin d'être "victorienne", était une femme de caractère, mais ouverte et tolérante, passionnée, qui aimait la vie et son rôle de reine.
Albert, l'homme de sa vie, fut plus victorien qu'elle. Il réussit, jusqu'à un certain point, à la convertir aux valeurs d'une société sûre d'elle et triomphante, mais fort misogyne, qu'elle incarna finalement. Monica Charlot peint un portrait attachant de la reine dans la première moitié de sa vie, jusqu'à la mort du prince consort. Ses sources sont souvent inédites : le journal intime de Victoria, ses très nombreuses lettres et autres documents des Archives royales de Windsor auxquelles l'auteur a eu le privilège d'accéder, mais aussi les témoignages, écrits et pamphlets de l'époque.
De quoi faire revivre, par la vivacité du style et la chaleur du regard, Victoria en son siècle.
Albert, l'homme de sa vie, fut plus victorien qu'elle. Il réussit, jusqu'à un certain point, à la convertir aux valeurs d'une société sûre d'elle et triomphante, mais fort misogyne, qu'elle incarna finalement. Monica Charlot peint un portrait attachant de la reine dans la première moitié de sa vie, jusqu'à la mort du prince consort. Ses sources sont souvent inédites : le journal intime de Victoria, ses très nombreuses lettres et autres documents des Archives royales de Windsor auxquelles l'auteur a eu le privilège d'accéder, mais aussi les témoignages, écrits et pamphlets de l'époque.
De quoi faire revivre, par la vivacité du style et la chaleur du regard, Victoria en son siècle.