Une histoire de l'ergot de seigle. Du mal des ardents au LSD
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- Nombre de pages150
- FormatePub
- ISBN978-2-13-084284-2
- EAN9782130842842
- Date de parution24/05/2023
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPUF
Résumé
L'ergot de seigle est un champignon parasite du seigle responsable de la mort de millions d'être humains au cours des siècles. Son ingestion dans le pain contaminé est à l'origine d'ergotisme aux formes gangréneuse, convulsive mais aussi psychiatrique et obstétricale. Connu dès le Moyen Âge sous le nom de « mal des Ardents » ou « feu de Saint-Antoine », la dernière grande épidémie fut la gangrène des Solognots en 1709.
Au Moyen Âge, l'ergotisme fut attribué à la colère divine et on invoqua Saint-Antoine pour la guérir. Sa toxicité fut identifiée au XVIIIe siècle et sa nature mycologique au XIXe siècle. Au XXe siècle, on identifia ses principes actifs dont sont issus des médicaments et une drogue psychoactive redoutable, le L. S. D. L'ergotisme a été incriminé dans de nombreux phénomènes historiques, des mystères d'Eleusis à la sorcellerie et aux possessions diaboliques.
Cette mycotoxicose fut la pire des intoxications alimentaires, actuellement quasi-disparue, mais impossible à éradiquer définitivement.
Au Moyen Âge, l'ergotisme fut attribué à la colère divine et on invoqua Saint-Antoine pour la guérir. Sa toxicité fut identifiée au XVIIIe siècle et sa nature mycologique au XIXe siècle. Au XXe siècle, on identifia ses principes actifs dont sont issus des médicaments et une drogue psychoactive redoutable, le L. S. D. L'ergotisme a été incriminé dans de nombreux phénomènes historiques, des mystères d'Eleusis à la sorcellerie et aux possessions diaboliques.
Cette mycotoxicose fut la pire des intoxications alimentaires, actuellement quasi-disparue, mais impossible à éradiquer définitivement.
L'ergot de seigle est un champignon parasite du seigle responsable de la mort de millions d'être humains au cours des siècles. Son ingestion dans le pain contaminé est à l'origine d'ergotisme aux formes gangréneuse, convulsive mais aussi psychiatrique et obstétricale. Connu dès le Moyen Âge sous le nom de « mal des Ardents » ou « feu de Saint-Antoine », la dernière grande épidémie fut la gangrène des Solognots en 1709.
Au Moyen Âge, l'ergotisme fut attribué à la colère divine et on invoqua Saint-Antoine pour la guérir. Sa toxicité fut identifiée au XVIIIe siècle et sa nature mycologique au XIXe siècle. Au XXe siècle, on identifia ses principes actifs dont sont issus des médicaments et une drogue psychoactive redoutable, le L. S. D. L'ergotisme a été incriminé dans de nombreux phénomènes historiques, des mystères d'Eleusis à la sorcellerie et aux possessions diaboliques.
Cette mycotoxicose fut la pire des intoxications alimentaires, actuellement quasi-disparue, mais impossible à éradiquer définitivement.
Au Moyen Âge, l'ergotisme fut attribué à la colère divine et on invoqua Saint-Antoine pour la guérir. Sa toxicité fut identifiée au XVIIIe siècle et sa nature mycologique au XIXe siècle. Au XXe siècle, on identifia ses principes actifs dont sont issus des médicaments et une drogue psychoactive redoutable, le L. S. D. L'ergotisme a été incriminé dans de nombreux phénomènes historiques, des mystères d'Eleusis à la sorcellerie et aux possessions diaboliques.
Cette mycotoxicose fut la pire des intoxications alimentaires, actuellement quasi-disparue, mais impossible à éradiquer définitivement.