Un traître à notre goût

Par : John Le Carré

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  • Nombre de pages384
  • FormatePub
  • ISBN978-2-02-104957-2
  • EAN9782021049572
  • Date de parution25/12/2015
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille963 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurLe Seuil

Résumé

Deux jeunes amoureux s'offrent des vacances de rêve dans une île caribéenne. Perry est un austère enseignant d'Oxford, Gail une avocate londonienne prometteuse. Leur pays natal est en pleine récession. Ils font la connaissance de Dima, milliardaire russe fantasque et truculent qui arbore une Rolex incrustée de diamants à son poignet, un tatouage sur le pouce droit et cherche un partenaire de tennis. Mais, en réalité, ce que cherche Dima se révélera être le moteur qui entraîne ce roman majestueux, tragique, captivant, sur la cupidité et la corruption, du Goulag à Antigua, Paris et la finale Federer/Söderling jusqu'à une planque au fin fond des Alpes suisses, en passant par les recoins les plus troubles de la City de Londres, impliquée dans une collusion contre nature avec les services secrets britanniques. John le Carré est né en 1931.
Après des études universitaires à Berne et Oxford, il enseigne à Eton, puis travaille pendant cinq ans pour le Foreign Office. Son troisième roman, L'Espion qui venait du froid, lui vaut la célébrité. Un traître à notre goût est son vingt-deuxième roman. Tous les ouvrages de John le Carré sont disponibles au Seuil. Isabelle Perrin (normalienne, agrégée d'anglais, docteur ès lettres et maître de conférences à l'Université Paris 3), que tout destinait à une sage carrière universitaire, mène une double vie depuis 1986, date à laquelle sa mère Mimi a eu la riche idée de lui transmettre le virus de la traduction littéraire professionnelle.
Aucun antidote n'ayant heureusement jamais été trouvé, le duo a cosigné la traduction de près d'une trentaine d'ouvrages, dont tous les romans de John le Carré depuis La Maison Russie.
Deux jeunes amoureux s'offrent des vacances de rêve dans une île caribéenne. Perry est un austère enseignant d'Oxford, Gail une avocate londonienne prometteuse. Leur pays natal est en pleine récession. Ils font la connaissance de Dima, milliardaire russe fantasque et truculent qui arbore une Rolex incrustée de diamants à son poignet, un tatouage sur le pouce droit et cherche un partenaire de tennis. Mais, en réalité, ce que cherche Dima se révélera être le moteur qui entraîne ce roman majestueux, tragique, captivant, sur la cupidité et la corruption, du Goulag à Antigua, Paris et la finale Federer/Söderling jusqu'à une planque au fin fond des Alpes suisses, en passant par les recoins les plus troubles de la City de Londres, impliquée dans une collusion contre nature avec les services secrets britanniques. John le Carré est né en 1931.
Après des études universitaires à Berne et Oxford, il enseigne à Eton, puis travaille pendant cinq ans pour le Foreign Office. Son troisième roman, L'Espion qui venait du froid, lui vaut la célébrité. Un traître à notre goût est son vingt-deuxième roman. Tous les ouvrages de John le Carré sont disponibles au Seuil. Isabelle Perrin (normalienne, agrégée d'anglais, docteur ès lettres et maître de conférences à l'Université Paris 3), que tout destinait à une sage carrière universitaire, mène une double vie depuis 1986, date à laquelle sa mère Mimi a eu la riche idée de lui transmettre le virus de la traduction littéraire professionnelle.
Aucun antidote n'ayant heureusement jamais été trouvé, le duo a cosigné la traduction de près d'une trentaine d'ouvrages, dont tous les romans de John le Carré depuis La Maison Russie.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.3/5
sur 9 notes dont 2 avis lecteurs
Le ramage n’était pas à la hauteur du plumage
Qui n’a pas entendu de John le Carré !? Ce mythe du roman d’espionnage anglais avec ce curieux patronyme français !? Jusqu’ici, je n’ai encore rien lu de lui, juste vu quelques films, alors quand j’ai vu fleurir des affiches avec son dernier roman, « Un traitre à notre goût », je me suis dit que l’occasion fait le larron et même pour être tout à fait honnête je pensais que John le Carré était un auteur des années 60-70 aux grands moments de la guerre froide. Sans référence de roman d’espionnage, et plus habitué aux RomPol (oui je sais, je me suis lancé dans les néologismes bobo), je suis d’abord surpris par le rythme. C’est lent, très lent. L’intrigue se met en place, comme si de rien n’était, comme un hasard de la vie fait que deux personnes se rencontrent. Un match de tennis à l’autre bout du monde, un oligarche Russe, un épisode un peu flou, une scène de débriefing, on est bien dans un roman d’espionnage. Puis le scénario se met en place. Implacable, réglé comme une horloge, une précision suisse. Un rythme suisse pour tout dire, car l’intrigue ne s’emballe pas pour autant. C’est efficace comme un rouleau compresseur sur un asphalte encore chaud, et tout aussi rapide. Je n’irai pas jusqu’à dire que l’ennui guette, mais on aimerait que ça aille un peu plus vite. Mais cette langueur n’empêche pas le vieux loup qu’est John le Carré de nous tenir en haleine et nous de nous amèner à accepter le dénouement. C’est mon premier roman d’espionnage, difficile de dire que ce n’est pas le meilleur, mais j’avoue être un peu resté sur ma fin. Le ramage n’était pas à la hauteur du plumage.
Qui n’a pas entendu de John le Carré !? Ce mythe du roman d’espionnage anglais avec ce curieux patronyme français !? Jusqu’ici, je n’ai encore rien lu de lui, juste vu quelques films, alors quand j’ai vu fleurir des affiches avec son dernier roman, « Un traitre à notre goût », je me suis dit que l’occasion fait le larron et même pour être tout à fait honnête je pensais que John le Carré était un auteur des années 60-70 aux grands moments de la guerre froide. Sans référence de roman d’espionnage, et plus habitué aux RomPol (oui je sais, je me suis lancé dans les néologismes bobo), je suis d’abord surpris par le rythme. C’est lent, très lent. L’intrigue se met en place, comme si de rien n’était, comme un hasard de la vie fait que deux personnes se rencontrent. Un match de tennis à l’autre bout du monde, un oligarche Russe, un épisode un peu flou, une scène de débriefing, on est bien dans un roman d’espionnage. Puis le scénario se met en place. Implacable, réglé comme une horloge, une précision suisse. Un rythme suisse pour tout dire, car l’intrigue ne s’emballe pas pour autant. C’est efficace comme un rouleau compresseur sur un asphalte encore chaud, et tout aussi rapide. Je n’irai pas jusqu’à dire que l’ennui guette, mais on aimerait que ça aille un peu plus vite. Mais cette langueur n’empêche pas le vieux loup qu’est John le Carré de nous tenir en haleine et nous de nous amèner à accepter le dénouement. C’est mon premier roman d’espionnage, difficile de dire que ce n’est pas le meilleur, mais j’avoue être un peu resté sur ma fin. Le ramage n’était pas à la hauteur du plumage.
  • XXIe siècle
espionnage
Ce que j'ai aimé : le début. On recontre les héros Gail et Perry qui sont mis à l'isolement dans un espèce de cave par une agence gouvernementale et bonmbardés de questions sur évènements passés ; des flash-backs nous font progresser dans l'histoire, ou l'on fini par découvrir tous les protagonistes, et on rattrape le présent. Le hic (pour moi) est que ces flash-backs durent... presque 200 pages et que j'avoue avoir "zappé" certaines pages. La deuxième partie m'a été plus agréable à lire, l'histoire est plus rythmée avec une fin très "Grand écran". Un bon moment de lecture et d'immertion dans la mafia russe.
Ce que j'ai aimé : le début. On recontre les héros Gail et Perry qui sont mis à l'isolement dans un espèce de cave par une agence gouvernementale et bonmbardés de questions sur évènements passés ; des flash-backs nous font progresser dans l'histoire, ou l'on fini par découvrir tous les protagonistes, et on rattrape le présent. Le hic (pour moi) est que ces flash-backs durent... presque 200 pages et que j'avoue avoir "zappé" certaines pages. La deuxième partie m'a été plus agréable à lire, l'histoire est plus rythmée avec une fin très "Grand écran". Un bon moment de lecture et d'immertion dans la mafia russe.
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