Tout est conscience. Une voie d'éveil bouddhiste
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- Nombre de pages254
- FormatePub
- ISBN978-2-226-21246-7
- EAN9782226212467
- Date de parution17/02/2010
- Protection num.Adobe DRM
- Taille600 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
Née au VIe siècle de notre ère au Gandhara, l'école du Yogâcâra ou voie de « l'esprit-seul » est l'une des écoles philosophiques bouddhistes les plus fécondes. Ses idées ont imprégné la pensée bouddhique à un point tel qu'on ne les distingue plus de l'enseignement originel du Bouddha. Ses maîtres enseignent l'inexistence pure et simple du monde de l'illusion et de l'impermanence. Tout ce à quoi nous sommes attachés, tout ce qui pour nous est doté d'existence, chargé de vérité et de sens, ne relève que d'une trompeuse construction de l'esprit nous enchaînant à un rêve qui, il faut bien l'avouer, n'est en général qu'un triste cauchemar.
Nous vivons donc, pendant le cours de nos brèves existences, dans une sorte de théâtre qui nous rive malheureusement à de véritables fantômes, à des ombres passagères dont nous subissons constamment la dure et inflexible loi dominatrice.
Nous vivons donc, pendant le cours de nos brèves existences, dans une sorte de théâtre qui nous rive malheureusement à de véritables fantômes, à des ombres passagères dont nous subissons constamment la dure et inflexible loi dominatrice.
Née au VIe siècle de notre ère au Gandhara, l'école du Yogâcâra ou voie de « l'esprit-seul » est l'une des écoles philosophiques bouddhistes les plus fécondes. Ses idées ont imprégné la pensée bouddhique à un point tel qu'on ne les distingue plus de l'enseignement originel du Bouddha. Ses maîtres enseignent l'inexistence pure et simple du monde de l'illusion et de l'impermanence. Tout ce à quoi nous sommes attachés, tout ce qui pour nous est doté d'existence, chargé de vérité et de sens, ne relève que d'une trompeuse construction de l'esprit nous enchaînant à un rêve qui, il faut bien l'avouer, n'est en général qu'un triste cauchemar.
Nous vivons donc, pendant le cours de nos brèves existences, dans une sorte de théâtre qui nous rive malheureusement à de véritables fantômes, à des ombres passagères dont nous subissons constamment la dure et inflexible loi dominatrice.
Nous vivons donc, pendant le cours de nos brèves existences, dans une sorte de théâtre qui nous rive malheureusement à de véritables fantômes, à des ombres passagères dont nous subissons constamment la dure et inflexible loi dominatrice.


















