Martinès de Pasqually et Jean-Baptiste Willermoz. Vie, doctrine et pratiques théurgiques de l'Ordre des Chevaliers Maçons

Par : Jean-Marc Vivenza
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  • Nombre de pages1616
  • FormatePub
  • ISBN978-2-35662-280-8
  • EAN9782356622808
  • Date de parution21/12/2020
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille5 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurLe Mercure Dauphinois

Résumé

L'histoire de la relation qui s'est établie entre Jean-Baptiste Willermoz (1730-1824) et Martinès de Pasqually (+ 1774) débute en avril 1767, année où les deux hommes vont se rencontrer, lors de la réception dans l'Ordre des Élus Coëns du futur fondateur du « Régime Écossais Rectifié », époque où « l'Ordre des Chevaliers Maçons Élus Coëns de l'Univers », dont Martinès était le Grand Souverain, venait d'installer à l'équinoxe de printemps à l'Orient de Versailles sa plus haute instance, c'est-à-dire son « Tribunal Souverain ».
À compter de cette date, Jean-Baptiste Willermoz va découvrir auprès de Martinès, jusqu'en septembre 1774 où ce dernier quitta ce monde à Port-au-Prince, un ambitieux programme visant à la « réintégration des êtres dans leurs premières propriétés, vertus et puissance spirituelles divines », de même qu'une doctrine spirituelle absolument originale, gravissant tous les degrés initiatiques jusqu'à celui, ultime, de Réaux-Croix, trouvant dans « l'Ordre des Chevaliers Maçons Élus Coëns de l'Univers », ce qu'il avait toujours attendu en matière de connaissances, et de surcroît la confirmation de ses espérances à propos des « mystères » subsistant au sein de la franc-maçonnerie.
L'histoire de la relation qui s'est établie entre Jean-Baptiste Willermoz (1730-1824) et Martinès de Pasqually (+ 1774) débute en avril 1767, année où les deux hommes vont se rencontrer, lors de la réception dans l'Ordre des Élus Coëns du futur fondateur du « Régime Écossais Rectifié », époque où « l'Ordre des Chevaliers Maçons Élus Coëns de l'Univers », dont Martinès était le Grand Souverain, venait d'installer à l'équinoxe de printemps à l'Orient de Versailles sa plus haute instance, c'est-à-dire son « Tribunal Souverain ».
À compter de cette date, Jean-Baptiste Willermoz va découvrir auprès de Martinès, jusqu'en septembre 1774 où ce dernier quitta ce monde à Port-au-Prince, un ambitieux programme visant à la « réintégration des êtres dans leurs premières propriétés, vertus et puissance spirituelles divines », de même qu'une doctrine spirituelle absolument originale, gravissant tous les degrés initiatiques jusqu'à celui, ultime, de Réaux-Croix, trouvant dans « l'Ordre des Chevaliers Maçons Élus Coëns de l'Univers », ce qu'il avait toujours attendu en matière de connaissances, et de surcroît la confirmation de ses espérances à propos des « mystères » subsistant au sein de la franc-maçonnerie.