Les mémoires de la violence. Littérature, peinture, photographie, cinéma

Par : Philippe Daros, Michel Gironde, Anastasia Arzoglou, Thibaut Chaix-Bryan

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  • Nombre de pages244
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-24255-5
  • EAN9782296242555
  • Date de parution01/12/2009
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille17 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Le passé du XXème siècle, avec son cortège d'horreurs, semble hanter, tel un spectre, les productions artistiques contemporaines. Les succès controversés des Bienveillantes de Jonathan Littell ou de Inglorious Basterds de Quentin Tarentino attestent que le besoin de mémoire est toujours aussi vivace, mais interrogent les modes de revenance du passé : peut-on, par exemple, laisser la parole (fictionnelle) à un bourreau de la Shoah, ou refaire l'histoire par pur besoin cathartique ? Quelles modalités d'héritage de notre (triste) histoire du XXème siècle peuvent alors explorer les arts ? Cette interrogation concerne aussi bien l'écrit, qui fixe / transcrit la mémoire, que l'image - picturale, photographique, cinématographique -, qui donne à voir / confronte instantanément à l'expérience du passé.
Dans ce cadre, que montre l'image que ne dit pas le texte ? Qu'exprime ce dernier que ne traduit pas l'image ? Des chercheurs, certains membres du groupe Retina. International (Recherches Esthétiques et Théorétiques sur les Images Nouvelles & Anciennes) et d'autres du CERC (Centre d'Etudes et de Recherches Comparatistes de l'Université Paris III Sorbonne Nouvelle) mettent en oeuvre des hypothèses autour de ces interrogations, en s'intéressant au passé de l'Europe, de l'Amérique latine et de l'Afrique : ainsi s'articulent dans ce livre la mémoire, la littérature, la peinture, la photographie et le cinéma.
Le passé du XXème siècle, avec son cortège d'horreurs, semble hanter, tel un spectre, les productions artistiques contemporaines. Les succès controversés des Bienveillantes de Jonathan Littell ou de Inglorious Basterds de Quentin Tarentino attestent que le besoin de mémoire est toujours aussi vivace, mais interrogent les modes de revenance du passé : peut-on, par exemple, laisser la parole (fictionnelle) à un bourreau de la Shoah, ou refaire l'histoire par pur besoin cathartique ? Quelles modalités d'héritage de notre (triste) histoire du XXème siècle peuvent alors explorer les arts ? Cette interrogation concerne aussi bien l'écrit, qui fixe / transcrit la mémoire, que l'image - picturale, photographique, cinématographique -, qui donne à voir / confronte instantanément à l'expérience du passé.
Dans ce cadre, que montre l'image que ne dit pas le texte ? Qu'exprime ce dernier que ne traduit pas l'image ? Des chercheurs, certains membres du groupe Retina. International (Recherches Esthétiques et Théorétiques sur les Images Nouvelles & Anciennes) et d'autres du CERC (Centre d'Etudes et de Recherches Comparatistes de l'Université Paris III Sorbonne Nouvelle) mettent en oeuvre des hypothèses autour de ces interrogations, en s'intéressant au passé de l'Europe, de l'Amérique latine et de l'Afrique : ainsi s'articulent dans ce livre la mémoire, la littérature, la peinture, la photographie et le cinéma.