Les manuels scolaires sous la loupe de l'historien. 1630-1963
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- Nombre de pages398
- FormatePub
- ISBN978-2-89791-440-0
- EAN9782897914400
- Date de parution20/06/2023
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille6 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurÉditions du Septentrion
Résumé
Entre 1630 et 1963, les professeurs et les élèves du Québec ont eu en main plus de 4 000 outils pédagogiques, dont des manuels édités à des fins d'enseignement et d'apprentissage. L'ampleur et la diversité des manuels scolaires témoignent du développement, de l'évolution ainsi que de la complexité du système scolaire et incitent à s'interroger sur les écrits de cette littérature initiatique, passage obligatoire vers l'acquisition des connaissances.
D'une production forcément restreinte durant le Régime français, la demande explose à la suite de la hausse du taux de natalité, de l'augmentation du nombre d'immigrants et d'un enseignement de plus en plus diversifié.
L'État doit alors intervenir pour encadrer l'administration du monde scolaire, comme en témoignent les lois scolaires, depuis celle de l'Institution royale en 1801 jusqu'à la création du ministère de l'Éducation en 1964, année au seuil de laquelle s'arrête cette étude. Licencié en histoire, Paul Aubin a enseigné pendant une douzaine d'années. Il a ensuite bifurqué vers la recherche. Pendant huit ans, à la direction générale du patrimoine du ministère des Affaires culturelles, il a travaillé à mettre sur pied un programme d'édition des travaux de ses collègues.
Après quoi il a rejoint l'Institut québécois de recherche sur la culture. À sa retraite, avec le soutien de la Bibliothèque de l'Université Laval, il s'est intéressé au manuel scolaire québécois.
L'État doit alors intervenir pour encadrer l'administration du monde scolaire, comme en témoignent les lois scolaires, depuis celle de l'Institution royale en 1801 jusqu'à la création du ministère de l'Éducation en 1964, année au seuil de laquelle s'arrête cette étude. Licencié en histoire, Paul Aubin a enseigné pendant une douzaine d'années. Il a ensuite bifurqué vers la recherche. Pendant huit ans, à la direction générale du patrimoine du ministère des Affaires culturelles, il a travaillé à mettre sur pied un programme d'édition des travaux de ses collègues.
Après quoi il a rejoint l'Institut québécois de recherche sur la culture. À sa retraite, avec le soutien de la Bibliothèque de l'Université Laval, il s'est intéressé au manuel scolaire québécois.
Entre 1630 et 1963, les professeurs et les élèves du Québec ont eu en main plus de 4 000 outils pédagogiques, dont des manuels édités à des fins d'enseignement et d'apprentissage. L'ampleur et la diversité des manuels scolaires témoignent du développement, de l'évolution ainsi que de la complexité du système scolaire et incitent à s'interroger sur les écrits de cette littérature initiatique, passage obligatoire vers l'acquisition des connaissances.
D'une production forcément restreinte durant le Régime français, la demande explose à la suite de la hausse du taux de natalité, de l'augmentation du nombre d'immigrants et d'un enseignement de plus en plus diversifié.
L'État doit alors intervenir pour encadrer l'administration du monde scolaire, comme en témoignent les lois scolaires, depuis celle de l'Institution royale en 1801 jusqu'à la création du ministère de l'Éducation en 1964, année au seuil de laquelle s'arrête cette étude. Licencié en histoire, Paul Aubin a enseigné pendant une douzaine d'années. Il a ensuite bifurqué vers la recherche. Pendant huit ans, à la direction générale du patrimoine du ministère des Affaires culturelles, il a travaillé à mettre sur pied un programme d'édition des travaux de ses collègues.
Après quoi il a rejoint l'Institut québécois de recherche sur la culture. À sa retraite, avec le soutien de la Bibliothèque de l'Université Laval, il s'est intéressé au manuel scolaire québécois.
L'État doit alors intervenir pour encadrer l'administration du monde scolaire, comme en témoignent les lois scolaires, depuis celle de l'Institution royale en 1801 jusqu'à la création du ministère de l'Éducation en 1964, année au seuil de laquelle s'arrête cette étude. Licencié en histoire, Paul Aubin a enseigné pendant une douzaine d'années. Il a ensuite bifurqué vers la recherche. Pendant huit ans, à la direction générale du patrimoine du ministère des Affaires culturelles, il a travaillé à mettre sur pied un programme d'édition des travaux de ses collègues.
Après quoi il a rejoint l'Institut québécois de recherche sur la culture. À sa retraite, avec le soutien de la Bibliothèque de l'Université Laval, il s'est intéressé au manuel scolaire québécois.