Le Marquis de Sade (1740-1814) de ces "historiettes" n'est pas encore l'écrivain sulfureux et violent que célébrera Guillaume Apollinaire au début du 20e Siècle, et plus tard, le Mouvement surréaliste.
La philosophie dans le boudoir
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- Nombre de pages174
- FormatePub
- ISBN978-2-36490-239-8
- EAN9782364902398
- Date de parution03/01/2013
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille542 Ko
- ÉditeurLa Musardine
Résumé
Ne pourrait-on, ne devrait-on lire qu'un seul texte de Sade, c'est incontestablement La Philosophie dans le boudoir qu'il faudrait choisir. « En premier lieu », a écrit André Pieyre de Mandiargues, « parce qu'il me semble que celui-là est aussi superbement que joliment rédigé ». Et c'est vrai. Il règne d'un bout à l'autre de ce livre un bonheur d'expression, une allégresse, un humour (quelquefois assez noir, mais c'est Sade, dont les audaces extrêmes ne se lisent pas comme La Semaine de Suzette !), capables de plonger le lecteur dans une jouissance pareille à celle qui, manifestement, a transporté l'auteur pendant qu'il l'écrivait.
Mais aussi, cette Philosophie dans le boudoir présente la particularité de concentrer en un seul volume ce que Sade a produit de plus brillant, en même temps que de plus profond.
Jamais son étonnante « façon de penser » ne s'est exprimée plus nettement, plus hautement. Lecture brûlante ? « je ne m'adresse qu'à des gens capables de m'entendre », écrit-il, « et ceux-là me liront sans danger ».
Jamais son étonnante « façon de penser » ne s'est exprimée plus nettement, plus hautement. Lecture brûlante ? « je ne m'adresse qu'à des gens capables de m'entendre », écrit-il, « et ceux-là me liront sans danger ».
Ne pourrait-on, ne devrait-on lire qu'un seul texte de Sade, c'est incontestablement La Philosophie dans le boudoir qu'il faudrait choisir. « En premier lieu », a écrit André Pieyre de Mandiargues, « parce qu'il me semble que celui-là est aussi superbement que joliment rédigé ». Et c'est vrai. Il règne d'un bout à l'autre de ce livre un bonheur d'expression, une allégresse, un humour (quelquefois assez noir, mais c'est Sade, dont les audaces extrêmes ne se lisent pas comme La Semaine de Suzette !), capables de plonger le lecteur dans une jouissance pareille à celle qui, manifestement, a transporté l'auteur pendant qu'il l'écrivait.
Mais aussi, cette Philosophie dans le boudoir présente la particularité de concentrer en un seul volume ce que Sade a produit de plus brillant, en même temps que de plus profond.
Jamais son étonnante « façon de penser » ne s'est exprimée plus nettement, plus hautement. Lecture brûlante ? « je ne m'adresse qu'à des gens capables de m'entendre », écrit-il, « et ceux-là me liront sans danger ».
Jamais son étonnante « façon de penser » ne s'est exprimée plus nettement, plus hautement. Lecture brûlante ? « je ne m'adresse qu'à des gens capables de m'entendre », écrit-il, « et ceux-là me liront sans danger ».