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  • Nombre de pages194
  • FormatePub
  • ISBN978-2-08-127430-3
  • EAN9782081274303
  • Date de parution24/08/2011
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

Phoenix, Arizona, automne 1962. Scott vit des instants de grâce auprès d'une mère aimante et tente d'échapper à l'ivresse sauvage d'un père revenu brisé de la guerre. Scott est un doux rêveur, en quête d'absolu et de grands espaces. Chaque jour s'ouvre sur les retrouvailles avec sa mère, infirmière de nuit au Memorial Hospital, et s'achève sous la menace du tyran à la patte folle. Un matin d'octobre, mère et fils prennent la fuite en direction de Flagstaff.
Le destin les attend sur la route 17. Avec Les derniers jours de Stefan Zweig, Laurent Seksik retraçait la tragédie d'un homme meurtri. La Légende des fils raconte l'odyssée d'un adolescent dans l'Ouest américain des années 1960. Le récit de l'innocence perdue.
Phoenix, Arizona, automne 1962. Scott vit des instants de grâce auprès d'une mère aimante et tente d'échapper à l'ivresse sauvage d'un père revenu brisé de la guerre. Scott est un doux rêveur, en quête d'absolu et de grands espaces. Chaque jour s'ouvre sur les retrouvailles avec sa mère, infirmière de nuit au Memorial Hospital, et s'achève sous la menace du tyran à la patte folle. Un matin d'octobre, mère et fils prennent la fuite en direction de Flagstaff.
Le destin les attend sur la route 17. Avec Les derniers jours de Stefan Zweig, Laurent Seksik retraçait la tragédie d'un homme meurtri. La Légende des fils raconte l'odyssée d'un adolescent dans l'Ouest américain des années 1960. Le récit de l'innocence perdue.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
Un auteur à découvrir!
Arizona, années 60 : nous suivons Scott, un adolescent mal dans sa peau. Fils unique, il est très proche de sa mère, leur relation est fusionnelle. Mais avec son père, c'est le conflit permanent : il est violent, blessé autant physiquement que psychologiquement par la guerre de Corée. Sans emploi, il passe ses journées à la maison à ressasser ses souvenirs pendant que la mère travaille de nuit à l'Hôpital. Elle est indulgente mais Scott ne le supporte plus et le menace un jour avec une arme. Tout au long du roman, on est partagé entre l'immense bonheur et l'amour inconditionnel qu'il ressent pour sa mère et la souffrance dans ses relations avec son père. Mais un évènement va chambouler sa vie et celle de son père. Dès le début de l'histoire, la tension est à son comble et j'ai tout de suite retrouvé le style de Laurent Seksik qui m'avait plu dans " Les derniers jours de Stefan Zweig" : il peint très bien les sentiments. On passe un bon moment, c'est un roman dépaysant mais surtout émouvant et d'une profonde mélancolie.
Arizona, années 60 : nous suivons Scott, un adolescent mal dans sa peau. Fils unique, il est très proche de sa mère, leur relation est fusionnelle. Mais avec son père, c'est le conflit permanent : il est violent, blessé autant physiquement que psychologiquement par la guerre de Corée. Sans emploi, il passe ses journées à la maison à ressasser ses souvenirs pendant que la mère travaille de nuit à l'Hôpital. Elle est indulgente mais Scott ne le supporte plus et le menace un jour avec une arme. Tout au long du roman, on est partagé entre l'immense bonheur et l'amour inconditionnel qu'il ressent pour sa mère et la souffrance dans ses relations avec son père. Mais un évènement va chambouler sa vie et celle de son père. Dès le début de l'histoire, la tension est à son comble et j'ai tout de suite retrouvé le style de Laurent Seksik qui m'avait plu dans " Les derniers jours de Stefan Zweig" : il peint très bien les sentiments. On passe un bon moment, c'est un roman dépaysant mais surtout émouvant et d'une profonde mélancolie.
  • Emouvant
  • Dépaysant
  • XXe siècle
  • adolescence
  • Phoenix Arizona
  • Scott Hartford
  • relation mère-fils

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
Trop de distance...
J’avais beaucoup aimé, de cet auteur, Les derniers jours de Stefan Zweig, il y a deux ou trois ans… J’ai été attirée par ce roman d’apprentissage qui décrit le parcours d’un jeune garçon qui vit à la campagne aux environs de Phoenix, en Arizona, en 1962, le lieu et l’époque me convenaient bien ! Cependant, dès le début, je n’ai pas accroché, la distance établie par l’auteur avec son jeune personnage m’ayant interdit toute empathie, malgré ce qu’il doit subir de la part de son père. De plus, un manque de rythme dans le roman, de longs monologues de personnages secondaires dont on se demandent ce qu’ils viennent faire là, m’ont découragée et ôté toute envie de dépasser la première moitié. Tant pis, je pense que cet auteur est plus à l’aise dans le domaine biographique et que ce sera là que je le retrouverai !
J’avais beaucoup aimé, de cet auteur, Les derniers jours de Stefan Zweig, il y a deux ou trois ans… J’ai été attirée par ce roman d’apprentissage qui décrit le parcours d’un jeune garçon qui vit à la campagne aux environs de Phoenix, en Arizona, en 1962, le lieu et l’époque me convenaient bien ! Cependant, dès le début, je n’ai pas accroché, la distance établie par l’auteur avec son jeune personnage m’ayant interdit toute empathie, malgré ce qu’il doit subir de la part de son père. De plus, un manque de rythme dans le roman, de longs monologues de personnages secondaires dont on se demandent ce qu’ils viennent faire là, m’ont découragée et ôté toute envie de dépasser la première moitié. Tant pis, je pense que cet auteur est plus à l’aise dans le domaine biographique et que ce sera là que je le retrouverai !
douceur
Douceur, c'est le premier mot qui me vient à la fin de la lecture de ce livre. Malgré la violence du père, de l'époque, la douceur de la mère est omniprésente, comme la douceur des phrases de Laurent Seksik, comme la douceur de Scott, cet enfant adolescent, grandit trop vitre, doux rêveur et qui apprend le pardon. Très beau
Douceur, c'est le premier mot qui me vient à la fin de la lecture de ce livre. Malgré la violence du père, de l'époque, la douceur de la mère est omniprésente, comme la douceur des phrases de Laurent Seksik, comme la douceur de Scott, cet enfant adolescent, grandit trop vitre, doux rêveur et qui apprend le pardon. Très beau
  • Triste
  • XXe siècle
  • Arizona
  • douceur
  • Bouleversant
  • pardon
  • Scott
  • Phoenix
  • Jeffrey
  • Meredith (Mam)
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