L'analyse de film avec Deleuze
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- Nombre de pages182
- FormatePub
- ISBN978-2-271-11565-2
- EAN9782271115652
- Date de parution22/06/2017
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurCNRS EDITIONS
- PréfacierPierre Montebello
Résumé
Deleuze s'est aventuré à l'intérieur du monde des oeuvres cinématographiques, en dressant une cartographie conceptuelle suscitée par les films eux-mêmes. Mais il n'a pas cherché à en extraire une méthode de l'analyse de film.
Deleuze s'est aventuré à l'intérieur du monde des oeuvres cinématographiques, en dressant une cartographie conceptuelle suscitée par les films eux-mêmes. Mais il n'a pas cherché à en extraire une méthode de l'analyse de film.
C'est la tâche à laquelle s'attaque ce livre.
L'intuition fondamentale de Cinéma 1 : l'image mouvement - le cinéma est fait de mouvements, chaque film est composé par des mouvements spécifiques, des " mouvements de film " - est amplifiée, complétée et retravaillée à l'aide de concepts venus de l'ensemble de l'oeuvre deleuzienne : la territorialisation, le plissement, la bifurcation, l'idée de film, etc. Ce sont eux qui sont mis à l'épreuve dans des séquences choisies de films, de Barry Lindon à Margin Call.
Chaque film apparaît comme le déploiement d'une question obsédante, dont la figuration se noue en mouvements spécifiques, panoramiques plissés, zooms coagulants, etc. Les problèmes classiques de l'espace et du temps, du sujet, du montage sont revisités et trouvent des solutions originales. . " Jean-Pierre Esquenazi, écrit Pierre Montebello dans sa préface, nous fait renouer avec le plaisir pris à voir, voir ce qu'on ne voyait plus, voir le mouvement même des images, une gestualité des images, un cinéma en actes.
"
L'intuition fondamentale de Cinéma 1 : l'image mouvement - le cinéma est fait de mouvements, chaque film est composé par des mouvements spécifiques, des " mouvements de film " - est amplifiée, complétée et retravaillée à l'aide de concepts venus de l'ensemble de l'oeuvre deleuzienne : la territorialisation, le plissement, la bifurcation, l'idée de film, etc. Ce sont eux qui sont mis à l'épreuve dans des séquences choisies de films, de Barry Lindon à Margin Call.
Chaque film apparaît comme le déploiement d'une question obsédante, dont la figuration se noue en mouvements spécifiques, panoramiques plissés, zooms coagulants, etc. Les problèmes classiques de l'espace et du temps, du sujet, du montage sont revisités et trouvent des solutions originales. . " Jean-Pierre Esquenazi, écrit Pierre Montebello dans sa préface, nous fait renouer avec le plaisir pris à voir, voir ce qu'on ne voyait plus, voir le mouvement même des images, une gestualité des images, un cinéma en actes.
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Deleuze s'est aventuré à l'intérieur du monde des oeuvres cinématographiques, en dressant une cartographie conceptuelle suscitée par les films eux-mêmes. Mais il n'a pas cherché à en extraire une méthode de l'analyse de film.
Deleuze s'est aventuré à l'intérieur du monde des oeuvres cinématographiques, en dressant une cartographie conceptuelle suscitée par les films eux-mêmes. Mais il n'a pas cherché à en extraire une méthode de l'analyse de film.
C'est la tâche à laquelle s'attaque ce livre.
L'intuition fondamentale de Cinéma 1 : l'image mouvement - le cinéma est fait de mouvements, chaque film est composé par des mouvements spécifiques, des " mouvements de film " - est amplifiée, complétée et retravaillée à l'aide de concepts venus de l'ensemble de l'oeuvre deleuzienne : la territorialisation, le plissement, la bifurcation, l'idée de film, etc. Ce sont eux qui sont mis à l'épreuve dans des séquences choisies de films, de Barry Lindon à Margin Call.
Chaque film apparaît comme le déploiement d'une question obsédante, dont la figuration se noue en mouvements spécifiques, panoramiques plissés, zooms coagulants, etc. Les problèmes classiques de l'espace et du temps, du sujet, du montage sont revisités et trouvent des solutions originales. . " Jean-Pierre Esquenazi, écrit Pierre Montebello dans sa préface, nous fait renouer avec le plaisir pris à voir, voir ce qu'on ne voyait plus, voir le mouvement même des images, une gestualité des images, un cinéma en actes.
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L'intuition fondamentale de Cinéma 1 : l'image mouvement - le cinéma est fait de mouvements, chaque film est composé par des mouvements spécifiques, des " mouvements de film " - est amplifiée, complétée et retravaillée à l'aide de concepts venus de l'ensemble de l'oeuvre deleuzienne : la territorialisation, le plissement, la bifurcation, l'idée de film, etc. Ce sont eux qui sont mis à l'épreuve dans des séquences choisies de films, de Barry Lindon à Margin Call.
Chaque film apparaît comme le déploiement d'une question obsédante, dont la figuration se noue en mouvements spécifiques, panoramiques plissés, zooms coagulants, etc. Les problèmes classiques de l'espace et du temps, du sujet, du montage sont revisités et trouvent des solutions originales. . " Jean-Pierre Esquenazi, écrit Pierre Montebello dans sa préface, nous fait renouer avec le plaisir pris à voir, voir ce qu'on ne voyait plus, voir le mouvement même des images, une gestualité des images, un cinéma en actes.
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