Écrits sur la France

Par : José Maria Eça de Queiroz
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  • Nombre de pages192
  • FormatPDF
  • ISBN2-296-35508-0
  • EAN9782296355088
  • Date de parution03/02/2006
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille7 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Ceci est la chronique d'une passion déçue. Au XIXe siècle, une bonne partie de l'Europe pense en français et se réfère à la pensée française. L'éducation française d'Eça de Queiroz, fils et petit-fils de magistrats franc-maçons, est profondément imprégnée de cette culture dominante. Dans son esprit se forme très tôt l'image d'une France civilisatrice et libératrice, qui s'incarne en Victor Hugo, en Proudhon.
En 1888, il arrive à Paris, comme consul de Portugal ; il y restera douze ans, jusqu'à sa mort. Il découvre une France bien différente, réduite aux petitesses parisiennes, matérialiste, médiocre, futile, arrogante et xénophobe. Il s'en isole, entouré seulement de sa famille et des intellectuels portugais et brésiliens, ses amis, qui lui rendent visite. Il l'observe et la peint comme elle est. Il souffre de sa désillusion.
Il enrage de voir ses compatriotes, prisonniers de la même obsession, limiter leur pensée politique et littéraire à l'imitation de la France. Ce faisant, il rend un grand hommage indirect à cette France dont il s'était fait " une certaine idée ".
Ceci est la chronique d'une passion déçue. Au XIXe siècle, une bonne partie de l'Europe pense en français et se réfère à la pensée française. L'éducation française d'Eça de Queiroz, fils et petit-fils de magistrats franc-maçons, est profondément imprégnée de cette culture dominante. Dans son esprit se forme très tôt l'image d'une France civilisatrice et libératrice, qui s'incarne en Victor Hugo, en Proudhon.
En 1888, il arrive à Paris, comme consul de Portugal ; il y restera douze ans, jusqu'à sa mort. Il découvre une France bien différente, réduite aux petitesses parisiennes, matérialiste, médiocre, futile, arrogante et xénophobe. Il s'en isole, entouré seulement de sa famille et des intellectuels portugais et brésiliens, ses amis, qui lui rendent visite. Il l'observe et la peint comme elle est. Il souffre de sa désillusion.
Il enrage de voir ses compatriotes, prisonniers de la même obsession, limiter leur pensée politique et littéraire à l'imitation de la France. Ce faisant, il rend un grand hommage indirect à cette France dont il s'était fait " une certaine idée ".
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