De la transmission à l'apprentissage. Contribution à une modélisation de la relation pédagogique
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- Nombre de pages208
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-24426-9
- EAN9782296244269
- Date de parution01/11/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille12 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Il ne suffit pas " d'avoir vécu " pour dire " je sais ". L'expérience n'est pas accumulation ou réservoir : elle est retour sur les faits et les actes, permettant à celui qui l'exécute de les atteindre avec ce qu'il faut à la fois de distance et de " déjà vu " pour les intercepter et les interpeller. Elle est comparaison et comparution, en regard d'autres pratiques et d'autres opinions, de ce qui a été et peut évoluer, ou se transformer : elle est servante de l'expérimentation.
Elle participe ainsi de la relation éducative. Pourtant, la question se pose des modalités de la traversée, autrement dit, du comment s'effectue le passage entre ce qui est transmis et ce qui est appris, c'est-à-dire réinvesti. Notre hypothèse est que le processus d'appropriation ne s'inscrit pas seulement dans un contexte de zone proximale de développement [Vygotski] et / ou de réciprocité apprenante [Labelle].
Sa réalisation et son aboutissement supposent en effet pour chacun des acteurs de la relation, la prise en compte de trois facteurs majeurs, une contextualisation qui prend une valeur anamnésique, une démarche métanoétique qui permet à l'un et l'autre des partenaires de la relation de dépasser les peurs et les refus, et une construction autopoïétique chaque fois remise en chantier. Ainsi, on apprend toujours plus que ce qui est transmis...
Elle participe ainsi de la relation éducative. Pourtant, la question se pose des modalités de la traversée, autrement dit, du comment s'effectue le passage entre ce qui est transmis et ce qui est appris, c'est-à-dire réinvesti. Notre hypothèse est que le processus d'appropriation ne s'inscrit pas seulement dans un contexte de zone proximale de développement [Vygotski] et / ou de réciprocité apprenante [Labelle].
Sa réalisation et son aboutissement supposent en effet pour chacun des acteurs de la relation, la prise en compte de trois facteurs majeurs, une contextualisation qui prend une valeur anamnésique, une démarche métanoétique qui permet à l'un et l'autre des partenaires de la relation de dépasser les peurs et les refus, et une construction autopoïétique chaque fois remise en chantier. Ainsi, on apprend toujours plus que ce qui est transmis...
Il ne suffit pas " d'avoir vécu " pour dire " je sais ". L'expérience n'est pas accumulation ou réservoir : elle est retour sur les faits et les actes, permettant à celui qui l'exécute de les atteindre avec ce qu'il faut à la fois de distance et de " déjà vu " pour les intercepter et les interpeller. Elle est comparaison et comparution, en regard d'autres pratiques et d'autres opinions, de ce qui a été et peut évoluer, ou se transformer : elle est servante de l'expérimentation.
Elle participe ainsi de la relation éducative. Pourtant, la question se pose des modalités de la traversée, autrement dit, du comment s'effectue le passage entre ce qui est transmis et ce qui est appris, c'est-à-dire réinvesti. Notre hypothèse est que le processus d'appropriation ne s'inscrit pas seulement dans un contexte de zone proximale de développement [Vygotski] et / ou de réciprocité apprenante [Labelle].
Sa réalisation et son aboutissement supposent en effet pour chacun des acteurs de la relation, la prise en compte de trois facteurs majeurs, une contextualisation qui prend une valeur anamnésique, une démarche métanoétique qui permet à l'un et l'autre des partenaires de la relation de dépasser les peurs et les refus, et une construction autopoïétique chaque fois remise en chantier. Ainsi, on apprend toujours plus que ce qui est transmis...
Elle participe ainsi de la relation éducative. Pourtant, la question se pose des modalités de la traversée, autrement dit, du comment s'effectue le passage entre ce qui est transmis et ce qui est appris, c'est-à-dire réinvesti. Notre hypothèse est que le processus d'appropriation ne s'inscrit pas seulement dans un contexte de zone proximale de développement [Vygotski] et / ou de réciprocité apprenante [Labelle].
Sa réalisation et son aboutissement supposent en effet pour chacun des acteurs de la relation, la prise en compte de trois facteurs majeurs, une contextualisation qui prend une valeur anamnésique, une démarche métanoétique qui permet à l'un et l'autre des partenaires de la relation de dépasser les peurs et les refus, et une construction autopoïétique chaque fois remise en chantier. Ainsi, on apprend toujours plus que ce qui est transmis...