Architecture et ethnographie au XIXe siècle. Lectures des conférences de la Société centrale des architectes français
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- Nombre de pages188
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-19588-2
- EAN9782296195882
- Date de parution01/05/2008
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille6 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le champ de production architecturale qui s'est formé au cours de la deuxième moitié du XIXe siècle en France et au-delà a été caractérisé, entre autres choses, aussi bien par des luttes de reconnaissance du métier que par le contrôle des effets que devaient produire les interdépendances avec d'autres champs sociaux : le champ politique, le champ scientifique ou universitaire, le champ technique, le champ esthétique, etc.
La création de La Société Centrale des Architectes Français en 1940 constitue, sans aucun doute, un des actes décisifs de ses fondateurs en vue non seulement de promouvoir l'architecture française d'alors, mais également de le doter d'une véritable dimension à la fois sociale, culturelle et humaine pourrait-on dire. Un acte qui devait s'objectiver au travers des expositions, des conférences, des colloques, etc., avec pour support, - entre autres - : leur " Journal ".
C'est dans ce contexte qu'il est souhaitable de re-situer les Conférences que contient ce petit ouvrage qui entend, modestement en tout cas, contribuer à la compréhension des logiques qui sont au principe des relations que l'architecture, en tant que pratique fondamentalement sociale, entretient avec d'autres pratiques. Pour les auteurs de ces Conférences dont nous restituons les contenus ici, nul doute que la conception qu'ils se faisaient de l'architecture reposait sur un aveu implicite : elle est déterminée autant qu'elle est déterminante dans une formation sociale spécifique.
La dimension ethnographique voire anthropologique permet d'explorer cet implicite.
La création de La Société Centrale des Architectes Français en 1940 constitue, sans aucun doute, un des actes décisifs de ses fondateurs en vue non seulement de promouvoir l'architecture française d'alors, mais également de le doter d'une véritable dimension à la fois sociale, culturelle et humaine pourrait-on dire. Un acte qui devait s'objectiver au travers des expositions, des conférences, des colloques, etc., avec pour support, - entre autres - : leur " Journal ".
C'est dans ce contexte qu'il est souhaitable de re-situer les Conférences que contient ce petit ouvrage qui entend, modestement en tout cas, contribuer à la compréhension des logiques qui sont au principe des relations que l'architecture, en tant que pratique fondamentalement sociale, entretient avec d'autres pratiques. Pour les auteurs de ces Conférences dont nous restituons les contenus ici, nul doute que la conception qu'ils se faisaient de l'architecture reposait sur un aveu implicite : elle est déterminée autant qu'elle est déterminante dans une formation sociale spécifique.
La dimension ethnographique voire anthropologique permet d'explorer cet implicite.
Le champ de production architecturale qui s'est formé au cours de la deuxième moitié du XIXe siècle en France et au-delà a été caractérisé, entre autres choses, aussi bien par des luttes de reconnaissance du métier que par le contrôle des effets que devaient produire les interdépendances avec d'autres champs sociaux : le champ politique, le champ scientifique ou universitaire, le champ technique, le champ esthétique, etc.
La création de La Société Centrale des Architectes Français en 1940 constitue, sans aucun doute, un des actes décisifs de ses fondateurs en vue non seulement de promouvoir l'architecture française d'alors, mais également de le doter d'une véritable dimension à la fois sociale, culturelle et humaine pourrait-on dire. Un acte qui devait s'objectiver au travers des expositions, des conférences, des colloques, etc., avec pour support, - entre autres - : leur " Journal ".
C'est dans ce contexte qu'il est souhaitable de re-situer les Conférences que contient ce petit ouvrage qui entend, modestement en tout cas, contribuer à la compréhension des logiques qui sont au principe des relations que l'architecture, en tant que pratique fondamentalement sociale, entretient avec d'autres pratiques. Pour les auteurs de ces Conférences dont nous restituons les contenus ici, nul doute que la conception qu'ils se faisaient de l'architecture reposait sur un aveu implicite : elle est déterminée autant qu'elle est déterminante dans une formation sociale spécifique.
La dimension ethnographique voire anthropologique permet d'explorer cet implicite.
La création de La Société Centrale des Architectes Français en 1940 constitue, sans aucun doute, un des actes décisifs de ses fondateurs en vue non seulement de promouvoir l'architecture française d'alors, mais également de le doter d'une véritable dimension à la fois sociale, culturelle et humaine pourrait-on dire. Un acte qui devait s'objectiver au travers des expositions, des conférences, des colloques, etc., avec pour support, - entre autres - : leur " Journal ".
C'est dans ce contexte qu'il est souhaitable de re-situer les Conférences que contient ce petit ouvrage qui entend, modestement en tout cas, contribuer à la compréhension des logiques qui sont au principe des relations que l'architecture, en tant que pratique fondamentalement sociale, entretient avec d'autres pratiques. Pour les auteurs de ces Conférences dont nous restituons les contenus ici, nul doute que la conception qu'ils se faisaient de l'architecture reposait sur un aveu implicite : elle est déterminée autant qu'elle est déterminante dans une formation sociale spécifique.
La dimension ethnographique voire anthropologique permet d'explorer cet implicite.