La question de la démocratisation de l’art, et en particulier de l’art contemporain, se pose avec beaucoup d’acuité à notre époque. Diverses initiatives vont dans le sens de l’accès du plus grand nombre à la création émergente la plus exigeante. Ces initiatives recouvrent toutes sortes d’objectifs sur lesquels il convient de revenir dans ce numéro. « Démocratiser l’art (contemporain) » s’inscrit dans une suite d’études menées par la revue Marges sur les conditions de la création en ce début de 21e siècle.
Après « Déplacements des pratiques artistiques », « Valeurs de l’art contemporain », « Expositions sans artistes », « Langages de l’œuvre et de l’art » et « Au-delà du Land Art », il est question cette fois-ci d’encourager les points de vue critiques sur la question des relations entre création contemporaine et espace public.
La question de la démocratisation de l’art, et en particulier de l’art contemporain, se pose avec beaucoup d’acuité à notre époque. Diverses initiatives vont dans le sens de l’accès du plus grand nombre à la création émergente la plus exigeante. Ces initiatives recouvrent toutes sortes d’objectifs sur lesquels il convient de revenir dans ce numéro. « Démocratiser l’art (contemporain) » s’inscrit dans une suite d’études menées par la revue Marges sur les conditions de la création en ce début de 21e siècle.
Après « Déplacements des pratiques artistiques », « Valeurs de l’art contemporain », « Expositions sans artistes », « Langages de l’œuvre et de l’art » et « Au-delà du Land Art », il est question cette fois-ci d’encourager les points de vue critiques sur la question des relations entre création contemporaine et espace public.