Le sociographe N° 34, Janvier 2011
Racismes ordinaires ?
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- Nombre de pages128
- PrésentationBroché
- Poids0.224 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-918621-04-1
- EAN9782918621041
- Date de parution01/02/2011
- ÉditeurChamp social (Editions)
Résumé
Il n'y a pas un racisme, mais des racismes. Anciens et toujours actuels, ils ne cessent de s'actualiser. Parce que certains tabous ont sauté, le racisme s'autorise même à revêtir les figures du bien-pensant et de la nécessité. La gestion des places et des espaces - du scolaire aux espaces dits publics - obéit à des règles racialisantes ; ce processus de catégorisation tendant à légitimer une dynamique dangereuse.
Les tensions communautaires, les modalités de gestion politique du racisme " classique " ne doivent pas masquer que la diffusion de la pensée racialisante est plus profonde, plus rampante, plus ambivalente. Ici, quelques tentatives pour démonter ces processus de " racialisations ", pour déshabiller un racisme parfois " normalisé " tant ses formes sont ordinaires, tant le racisme peut paraître finalement banal.
Les tensions communautaires, les modalités de gestion politique du racisme " classique " ne doivent pas masquer que la diffusion de la pensée racialisante est plus profonde, plus rampante, plus ambivalente. Ici, quelques tentatives pour démonter ces processus de " racialisations ", pour déshabiller un racisme parfois " normalisé " tant ses formes sont ordinaires, tant le racisme peut paraître finalement banal.
Il n'y a pas un racisme, mais des racismes. Anciens et toujours actuels, ils ne cessent de s'actualiser. Parce que certains tabous ont sauté, le racisme s'autorise même à revêtir les figures du bien-pensant et de la nécessité. La gestion des places et des espaces - du scolaire aux espaces dits publics - obéit à des règles racialisantes ; ce processus de catégorisation tendant à légitimer une dynamique dangereuse.
Les tensions communautaires, les modalités de gestion politique du racisme " classique " ne doivent pas masquer que la diffusion de la pensée racialisante est plus profonde, plus rampante, plus ambivalente. Ici, quelques tentatives pour démonter ces processus de " racialisations ", pour déshabiller un racisme parfois " normalisé " tant ses formes sont ordinaires, tant le racisme peut paraître finalement banal.
Les tensions communautaires, les modalités de gestion politique du racisme " classique " ne doivent pas masquer que la diffusion de la pensée racialisante est plus profonde, plus rampante, plus ambivalente. Ici, quelques tentatives pour démonter ces processus de " racialisations ", pour déshabiller un racisme parfois " normalisé " tant ses formes sont ordinaires, tant le racisme peut paraître finalement banal.
A propos de Ahmed Nordine Touil
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